L'ordonnance Bruxelles Numérique approuvée en commission

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : «Services publics - Feu vert pour l’ordonnance "Bruxelles numérique"»

Extraits de l'article publié par Le Soir :

La deuxième fois a été la bonne pour Bernard Clerfayt (Défi) venu défendre son avant-projet d’ordonnance et de décret « Bruxelles numérique » en commission interparlementaire. Avec force, le ministre a rappelé que ce texte, « veille, d’une part, à assurer la disponibilité de toutes les démarches administratives en ligne et, d’autre part, à maintenir des guichets physiques, des centrales d’appels et la voie postale pour les citoyens qui ne souhaitent pas utiliser les outils numériques ». « Le numérique sauvage discrimine », a-t-il soutenu. Réglementer son essor est donc « essentiel ».

[…]

L’avant-projet a finalement été adopté majorité contre opposition et devrait être entériné en plénière le 9 janvier. […]

Lire l'article sur le site du quotidien Le Soir

La numérisation des services publics nécessite un encadremement

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : «Le projet d’ordonnance sur la numérisation de l’administration à Bruxelles validé en commission : “C’est le numérique sauvage qui discrimine”»

Extraits de l'article publié par La Dernière Heure :

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Les députés bruxellois de la commission interparlementaire Région-Cocom et Cocof ont donné leur feu vert aux projets d’ordonnance et de décret du ministre de la Transition Numérique Bernard Clerfayt (DéFI) destinés à encadrer la numérisation des services administratifs en Région-capitale.

Le texte vise à rendre disponible en ligne l’ensemble des démarches administratives tout en garantissant un accompagnement et le maintien de guichet physique, centrale d’appel et courrier postal.

[…]

Longuement auditionné, un de leurs représentants, Daniel Flinker, coordinateur de l’asbl Lire et Écrire, a estimé que le débat sur ce sujet sensible était mené trop rapidement. […]

Il a aussi émis nombre de critiques sur certains articles du projet, en particulier sur l’article 13 qui traite des alternatives hors-ligne.

[…]

[…] c’est “le numérique sauvage” qui “discrimine” à l’image de la disparition des distributeurs de billets, de la diminution du nombre de guichets dans les gares ou encore de l’accès, uniquement en ligne, aux primes Rénolution.

Selon lui, Bruxelles Numérique veille donc, d’une part, à assurer la disponibilité de toutes les démarches administratives en ligne et, d’autre part, à garantir le maintien des guichets physiques, des centrales d’appels et la voie postale pour les citoyens qui ne souhaitent pas utiliser les outils numériques.

Autres garanties, a-t-il dit : un accompagnement pour aider ceux qui ont besoin d’une aide à effectuer leur démarche en ligne et la possibilité pour les utilisateurs qui auraient opté pour l’interaction numérique, de revenir à tout moment aux canaux traditionnels. Bruxelles numérique oblige aussi les administrations, lors du développement des interfaces, de garantir leur utilisabilité pour un large public et leur accessibilité aux personnes porteuses d’un handicap.

”Bruxelles Numérique est le premier texte belge à mettre un cadre strict au développement du numérique, pour que celui-ci se fasse toujours au bénéfice des citoyens, tant à ceux qui maîtrisent le numérique qu’aux autres. Et c’est un combat qui doit être porté à tous les niveaux de pouvoir”, a insisté Bernard Clerfayt.

Lire l'article sur le site de La Dernière Heure

Feu vert à Bruxelles Numérique en Commission

Actualité
Feu vert à Bruxelles Numérique en Commission interparlementaire

Ce mercredi 13 décembre, les députés bruxellois se prononçaient sur le projet d’ordonnance Bruxelles Numérique en Commission du Parlement bruxellois. Un texte visant à rendre disponible en ligne l’ensemble des démarches administratives tout en garantissant un accompagnement et le maintien de guichet physique, centrale d’appel et courrier postal. 

Bruxelles Numérique, un texte législatif largement concerté

Après plusieurs mois de travail, de rencontres et d’échanges avec le secteur associatif, les députés ont approuvé le texte Bruxelles Numérique, avec les voix du PS, Ecolo, DéFI, Groen, OpenVLD et Vooruit/one.brussels.

Pour assurer la disponibilité de toutes les démarches administratives

 « Le numérique sauvage discrimine », affirme Bernard Clerfayt. Disparition des Bancontact, diminution du nombre de guichets dans les gares ou encore primes Rénolution accessibles uniquement en ligne, on regorge d’exemples qui démontrent que le développement du numérique se fait parfois au détriment des besoins des citoyens. Dans ce contexte, réglementer l’essor du numérique est essentiel.

Bruxelles Numérique veille donc, d’une part, à assurer la disponibilité de toutes les démarches administratives en ligne et, d’autre part, à maintenir des guichets physiques, des centrales d’appels et la voie postale pour les citoyens qui ne souhaitent pas utiliser les outils numériques.

Quelles nouvelles garanties ?

Concrètement, Bruxelles Numérique garantit le maintien des guichets physiques, des centrales d’appels et de la voie postale, toutes les démarches disponibles en ligne, un accompagnement pour aider ceux qui ont besoin d’une aide à effectuer leur démarche en ligne.

Bruxelles numérique garantit aussi la possibilité pour les utilisateurs qui auraient opté pour l’interaction numérique, de revenir à tout moment aux canaux traditionnels.

Bruxelles numérique oblige aussi les administrations, lors du développement des interfaces, de garantir leur utilisabilité pour un large public et leur accessibilité aux personnes porteuses d’un handicap.

Un texte pionnier au bénéfice des citoyens

« Bruxelles Numérique est le premier texte belge à mettre un cadre strict au développement du numérique. Pour que celui-ci se fasse toujours au bénéfice des citoyens, tant à ceux qui maîtrisent le numérique qu’aux autres. Et c’est un combat qui doit être porté à tous les niveaux de pouvoir », rappelle Bernard Clerfayt.

Bruxelles Numérique a été approuvée en milieu d’après-midi par la Commission interparlementaire.

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Feu vert à Bruxelles Numérique en Commission du Parlement bruxellois

Communiqué de presse

Ce matin, les députés bruxellois se prononçaient sur le projet d’ordonnance Bruxelles Numérique en Commission du Parlement bruxellois. Un texte visant à rendre disponible en ligne l’ensemble des démarches administratives tout en garantissant un accompagnement et le maintien de guichet physique, centrale d’appel et courrier postal. Après plusieurs mois de travail, de rencontres et d’échanges avec le secteur associatif, les députés ont approuvé le texte Bruxelles Numérique, avec les voix du PS, Ecolo, DéFI, Groen, OpenVLD et Vooruit/one.brussels.

 « Le numérique sauvage discrimine », affirme Bernard Clerfayt. Disparition des Bancontact, diminution du nombre de guichets dans les gares ou encore primes Rénolution accessibles uniquement en ligne, on regorge d’exemples qui démontrent que le développement du numérique se fait parfois au détriment des besoins des citoyens. Dans ce contexte, réglementer l’essor du numérique est essentiel.

Bruxelles Numérique veille donc, d’une part, à assurer la disponibilité de toutes les démarches administratives en ligne et, d’autre part, à maintenir des guichets physiques, des centrales d’appels et la voie postale pour les citoyens qui ne souhaitent pas utiliser les outils numériques.

Concrètement, Bruxelles Numérique garantit le maintien des guichets physiques, des centrales d’appels et de la voie postale, toutes les démarches disponibles en ligne, un accompagnement pour aider ceux qui ont besoin d’une aide à effectuer leur démarche en ligne.

Bruxelles numérique garantit aussi la possibilité pour les utilisateurs qui auraient opté pour l’interaction numérique, de revenir à tout moment aux canaux traditionnels.

Bruxelles numérique oblige aussi les administrations, lors du développement des interfaces, de garantir leur utilisabilité pour un large public et leur accessibilité aux personnes porteuses d’un handicap.

« Bruxelles Numérique est le premier texte belge à mettre un cadre strict au développement du numérique. Pour que celui-ci se fasse toujours au bénéfice des citoyens, tant à ceux qui maîtrisent le numérique qu’aux autres. Et c’est un combat qui doit être porté à tous les niveaux de pouvoir »,rappelle Bernard Clerfayt.

Bruxelles Numérique a été approuvée en milieu d’après-midi par la Commission interparlementaire.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Fibru commercialisé dès 2024

Actualité
Fibru commercialisé dès 2024

Fibru, c’est le nom du réseau public bruxellois de fibre optique et de gaines qui sera commercialisé en 2024, sur l’initiative de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique. Une commercialisation qui pourra rapporter jusqu’à 2,5 millions d’euros dès 2030.

Les réseaux publics centralisés

Saviez-vous qu’il existe, dans le sol de la Région bruxelloise, des réseaux de fibre optique et de gaines, développés par 6 administrations bruxelloises, Sibelga, Bruxelles Mobilité, Vivaqua, la STIB, le Port de Bruxelles et IRISnet.

Mis bout à bout, ces différents réseaux s’étalent sur 964 km. La première étape était de centraliser ces différents réseaux en un seul. C’est chose faite depuis 2022.  La gestion, la planification, la maintenance des réseaux sont depuis confiées à IRISnet.

Une capacité excédentaire qui pourrait valoir 2,5 Mio €

La deuxième est de commercialiser la capacité excédentaire, celle qui n’est pas utilisée par les administrations. Le réseau le plus étendu, celui d’IRISnet, qui dessert essentiellement les administrations bruxelloises, n’est utilisé qu’à environ 30% de sa capacité. Les autres réseaux fibre, à 50%.

« On estime qu’environ 50% de la capacité du réseau Fibru n’est pas utilisée. Sa commercialisation pourrait générer jusqu’à 2,5 millions d’euros dès 2030. Nous sommes donc assis sur un véritable trésor enfoui », commente Bernard Clerfayt.

IRISnet, VRP de la fibre

Plus concrètement, IRISnet est chargé d’agir comme guichet unique pour toutes les demandes d’utilisation du réseau et des gaines excédentaires mais également de commercialiser les capacités de fibres et de rémunérer les administrations mettant leurs réseaux à disposition, dès 2024.

Les revenus seront redistribués vers les six administrations et ce, à hauteur de 70%. Les 30% restant serviront à financer et rémunérer IRISnet pour ses activités.

Fibru, la fibre à bas niveau de nuisances au service des Bruxellois

Fibru permettra aussi de réduire les impacts environnementaux et urbains en limitant les déploiements redondants et les nuisances liés à l’ouverture des trottoirs.

« Grâce à Fibru, nous coordonnons les développements futurs de la fibre bruxelloise à destination des administrations et développons aussi des synergies autour de la maintenance. Mais surtout, en ouvrant notre réseau aux opérateurs télécom, nous facilitons le déploiement de la fibre au sein des foyers bruxellois », conclut Bernard Clerfayt.

La Région bruxelloise commercialisera son réseau de fibre dès 2024

Communiqué de presse

Fibru, c’est le nom du réseau public bruxellois de fibre optique et de gaines qui sera commercialisé en 2024, sous l’initiative de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique. Une commercialisation qui pourra rapporter jusqu’à 2,5 millions d’euros dès 2030.

Saviez-vous qu’il existe, dans le sol de la Région bruxelloise, des réseaux de fibre optique et de gaines, développés par 6 administrations bruxelloises, Sibelga, Bruxelles Mobilité, Vivaqua, la STIB, le Port de Bruxelles et IRISnet.

Mis bout à bout, ces différents réseaux s’étalent sur 964 km. La première étape était de centraliser ces différents réseaux en un seul. C’est chose faite depuis 2022.  La gestion, la planification, la maintenance des réseaux sont depuis confiées à IRISnet.

La deuxième est de commercialiser la capacité excédentaire, celle qui n’est pas utilisée par les administrations.  Le réseau le plus étendu, celui d’IRISnet, qui dessert essentiellement les administrations bruxelloises, n’est utilisé qu’à environ 30% de sa capacité. Les autres réseaux fibre, à 50%.

« On estime qu’environ 50% de la capacité du réseau Fibru n’est pas utilisée. Sa commercialisation pourrait générer jusqu’à 2,5 millions d’euros dès 2030. Nous sommes donc assis sur un véritable trésor enfoui », commente Bernard Clerfayt.

IRISnet, VRP de la fibre

Plus concrètement, IRISnet est chargé d’agir comme guichet unique pour toutes les demandes d’utilisation du réseau et des gaines excédentaires mais également de commercialiser les capacités de fibres et de rémunérer les administrations mettant leurs réseaux à disposition, dès 2024.

Les revenus seront redistribués vers les six administrations et ce, à hauteur de 70%. Les 30% restant serviront à financer et rémunérer IRISnet pour ses activités.

Fibru permettra aussi de réduire les impacts environnementaux et urbains en limitant les déploiements redondants et les nuisances liés à l’ouverture des trottoirs.

« Grâce à Fibru, nous coordonnons les développements futurs de la fibre bruxelloise à destination des administrations et développons aussi des synergies autour de la maintenance. Mais surtout, en ouvrant notre réseau aux opérateurs télécom, nous facilitons le déploiement de la fibre au sein des foyers bruxellois », conclut Bernard Clerfayt.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Commercialiser le réseau Fibru au profit de la Région

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Bruxelles va commercialiser son réseau de fibre optique et espère en tirer jusqu’à 2,5 millions € à l’horizon 2030 : “nous sommes assis sur un trésor”.

Extraits de l'article publié par La Dernière Heure :

La Région bruxelloise va commercialiser la capacité excédentaire de son réseau public de fibre optique. “On estime qu’environ 50 % de la capacité du réseau Fibru n’est pas utilisée. Sa commercialisation pourrait générer jusqu’à 2,5 millions d’euros dès 2030. Nous sommes donc assis sur un véritable trésor enfoui”, commente le ministre bruxellois Bernard Clerfayt (Défi). […]

[…]

“Le réseau le plus étendu, celui d’Irisnet, qui dessert essentiellement les administrations bruxelloises, n’est utilisé qu’à environ 30 % de sa capacité. Les autres réseaux fibre, à 50 %”, poursuit Bernard Clerfayt (Défi).

Lire l'article de la Dernière Heure