Nombre de chiens et chats identifiés en Région de Bruxelles-Capitale

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : "Plus de 57.000 chats et 88.000 chiens enregistrés en Région bruxelloise".

Extrait de l'article du Soir :

Ce dimanche, le cabinet du ministre du Bien-être animal communique une série de chiffres concernant nos compagnons à quatre pattes préférés. Voici les prénoms qui sont le plus souvent attribués à nos boules de poils.

Pas moins de 57.241 chats et 88.384 chiens sont enregistrés en Région bruxelloise, selon les chiffres de 2023 des bases de données CatID et DogID, rapporte dimanche le cabinet du ministre du Bien-être animal, Bernard Clerfayt. Le nombre de félins identifiés est ainsi en forte hausse par rapport à l'année précédente (+10.096).

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Chat ou chien, Simba est le nom préféré des Bruxellois pour leur animal 

Communiqué de presse

Les Bruxellois sont nombreux à posséder un chien ou un chat. Chihuahua, Spitz, chat européen, Main Coon… Quelles sont les races les plus prisées ? Voici le top 5 des races et noms des chiens et chats à Bruxelles en 2023.

C’est un fait : les Bruxellois apprécient la compagnie des animaux domestiques. En 2023, on dénombrait 57.241 chats et 88.384 chiens enregistrés en Région bruxelloise dans les bases de données CatID et DogID. Les chiens et les chats restent sans conteste les animaux de compagnie préférés des Bruxellois.

Du côté des races de chiens les plus populaires en 2023, il y a du changement. Le chihuahua redevient le chien le plus populaire en Région bruxelloise, suivi par le canis vulgaris (le « bâtard »), le border collie, le teckel et ce top 5 se termine par une nouvelle entrée dans le classement le Spitz allemand. Exit donc pour la Labrador retriever qui figurait à la 3ème place l’année passée.

C’est à Uccle, Anderlecht et Schaerbeek que l’on dénombre le plus de chiens avec respectivement, 10.162, 9.652 et 6.470 chiens enregistrés.

Concernant les noms, pour les mâles, on retrouve en première position Simba, Max, Milo, Rocky et Loki. Et pour les femelles, Bella, Luna, Lola, Maya et Kira. Relevons que Milo, Loki et Kira font pour la première fois, leur entrée dans ce classement.

Du côté des chats, la race la plus commune reste, sans surprise, le chat de type européen, parfois appelé chat de gouttière.

Les noms les plus donnés aux chats en 2023 sont Simba, Tigrou, Cookie, Léo et Milo pour les mâles. Tandis que les femelles portent essentiellement les noms de Luna, Nala, Mia, Mimi et Bella.

« Qu’il s’appelle Simba ou Luna, un animal est une source de bonheur intarissable. Et cela s’accompagne aussi de grandes responsabilités : le nourrir, le soigner, le divertir mais aussi l’identifier ! C’est le moyen le plus sûr de pouvoir le retrouver si les aléas de la vie l’éloignent de vous. Et, je ne répéterai jamais assez qu’un maître responsable, c’est celui qui fait stériliser son chat », rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Le bien-être animal dans le cadre de la présidence belge

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Photo de quatre intervenants lors du colloque Bien-être animal « Call to Care for Animal Welfare », de gauche à droite : Bernard Clerfayt, Céline Tellier, Stella Kyriakides, Ben Weyts

Dans le cadre de la présidence belge du Conseil de l'UE, le Ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt participait ce 29 janvier au colloque « Call to Care for Animal Welfare »

Promouvoir une protection renforcée des animaux et un encadrement plus poussé du bien-être animal à l’échelle européenne est d’une importance cruciale. Plus spécifiquement, l’accent a été mis sur la protection des animaux d’élevage. La participation de la Commissaire européenne Stella Kyriakides et de Claire Bury, Deputy Director General for Food sustainability, DG SANTE, confirma le vif intérêt de la Commission pour le Bien-être animal. Avec Ben Weyts pour la Région flamande et Céline Tellier pour la Région wallonne, le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt a mis l’accent sur les enjeux majeurs du Bien-être animal.

À l’échelle régionale ou européenne, les études confirment l’attention pour le bien-être animal

Les récents résultats d'enquêtes, dont le dernier eurobaromètre et l'initiative "Donnez-nous votre voix", témoignent d'une préoccupation croissante de la société pour la protection des animaux. Avec des données probantes, 84 % des citoyens européens plaident en faveur d'une meilleure protection des animaux d'élevage, tandis que 74 % aspirent à un niveau supérieur de bien-être pour les animaux de compagnie.

En Région bruxelloise, une étape significative se profile dans la législation sur le bien-être animal. Des initiatives ambitieuses, telles que la reconnaissance de la sentience et l'interdiction de la vente d'animaux vivants sur les marchés, visent à élever les normes, positionnant notre région comme un modèle en matière de protection animale.

Pour des pratiques commerciales responsables partout en Europe

Cependant, ces défis dépassent les frontières nationales. La publicité en ligne d'animaux, par exemple, nécessite une approche coordonnée à l'échelle européenne pour garantir des pratiques responsables.

Sans un encadrement strict, les publicités relatives aux chiens et aux chats, en particulier lorsqu’elles ont lieu sur les réseaux sociaux, n’offrent pas les garanties suffisantes afin de prendre une décision réfléchie et informée sur l’accueil d’un animal au sein de son foyer. Cela pouvant mener jusqu’à la négligence ou à l’abandon de l’animal.

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Soutien aux associations de le secteur du Bien-être animal

Extrait de presse
Extrait de presse, Sudpresse : "La Région bruxelloise soutient 13 projets d’ASBL actives en matière de bien-être animal".

Extraits de l'article publié par Sudpresse :

En juin dernier, le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), a lancé un appel à projets à destination des ASBL actives en matière de bien-être animal. Au total, 13 projets ont été sélectionnés.

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« La mission des associations actives en matière de bien-être animal est indispensable et vient renforcer le travail des pouvoirs publics. Sensibilisation et information, soutien aux propriétaires ou encore aide aux animaux blessés, perdus ou abandonnés, le but ici est de financer des projets qui ont un impact direct sur le bien-être des animaux », explique Bernard Clerfayt.

Sur les 22 projets introduits auprès de Bruxelles Environnement, 13 ont été sélectionnés pour un montant de 147.488 euros. 

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« Le bien-être animal est l'affaire de tous. Les associations et les citoyens font preuve d'innovation en matière d'initiative animale. Nous avons besoin de cette collaboration car nous partageons tous le même objectif : améliorer la qualité de vie des animaux », commente le Ministre amarante.

Bien-être animal : la Région soutien les projets des associations

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Espace de jeux pour les chiens

Sur 22 projets introduits par les asbl auprès de Bruxelles Environnement, 13 ont été sélectionnés pour un montant de 147.488 euros. Certains projets retenus innovent, par exemple, le refuge Veeweyde et son projet de « mantrailing », discipline olfactive qui s’apparente au pistage. Cela permet à l’homme de créer un lien avec l’animal et aux chiens du refuge de se dépenser tout en adoptant les codes canins utiles à leur future adoption.

Autres exemples de projets qui bénéficieront de la subvention :

  • Le soutien aux soins des animaux domestiques des personnes défavorisées par la Fondation Prince Laurent.
  • Les activités de sensibilisation aux besoins des animaux de la Ferme d’Anjou située à Woluwe-Saint-Pierre.

« Le bien-être animal est l’affaire de tous. Les associations et les citoyens font preuve d’innovation en matière d’initiative animale. Nous avons besoin de cette collaboration car nous partageons tous le même objectif : améliorer la qualité de vie des animaux », commente Bernard Clerfayt.

Place essentielle des associations actives en matière de bien-être animal

En juin dernier, le Ministre du Bien-être animal avait lancé un appel à projets à destination des asbl actives en matière de bien-être animal. Le but : soutenir la mise en œuvre de projets visant à améliorer le bien-être des animaux en ville. 

Améliorer la protection et le bien-être des animaux domestiques est une priorité en Région bruxelloise. Après un nouveau code bruxellois du bien-être animal déposé sur la table du gouvernement cet été, le Ministre bruxellois du bien-être animal a lancé un nouvel appel à projets à destination du secteur associatif.

« La mission des associations actives en matière de bien-être animal est indispensable et vient renforcer le travail des pouvoirs publics. Sensibilisation et information, soutien aux propriétaires ou encore aide aux animaux blessés, perdus ou abandonnés, le but ici est de financer des projets qui ont un impact direct sur le bien-être des animaux », explique Bernard Clerfayt.

La Région bruxelloise soutient 13 projets d’asbl actives en matière de bien-être animal

Communiqué de presse

En juin dernier, le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, a lancé un appel à projets à destination des asbl actives en matière de bien-être animal. Le but : soutenir la mise en œuvre de projets visant à améliorer le bien-être des animaux en ville. Au total, 13 projets ont été sélectionnés et seront financés à hauteur de 147.488 euros.

Améliorer la protection et le bien-être des animaux domestiques est une priorité en Région bruxelloise. Après un nouveau code bruxellois du bien-être animal déposé sur la table du gouvernement cet été, le Ministre bruxellois du bien-être animal a lancé un nouvel appel à projets à destination du secteur associatif.

« La mission des associations actives en matière de bien-être animal est indispensable et vient renforcer le travail des pouvoirs publics. Sensibilisation et information, soutien aux propriétaires ou encore aide aux animaux blessés, perdus ou abandonnés, le but ici est de financer des projets qui ont un impact direct sur le bien-être des animaux », explique Bernard Clerfayt.

Sur les 22 projets introduits auprès de Bruxelles Environnement, 13 ont été sélectionnés pour un montant de 147.488 euros. Si certains projets permettent la continuité d’activités déjà bien ancrées, d’autres constituent des nouveautés pour le milieu associatif de la protection animale à Bruxelles. Par exemple, le refuge Veeweyde et son projet de « mantrailing », discipline olfactive qui s’apparente au pistage. Cela permet à l’homme de créer un lien avec l’animal et aux chiens du refuge de se dépenser tout en adoptant les codes canins utiles à leur future adoption.

Autres exemples de projets qui bénéficieront de la subvention :

  1. Le soutien aux soins des animaux domestiques des personnes défavorisées par la Fondation Prince Laurent.
  2. Les activités de sensibilisation aux besoins des animaux de la Ferme d’Anjou située à Woluwe-Saint-Pierre.

« Le bien-être animal est l’affaire de tous. Les associations et les citoyens font preuve d’innovation en matière d’initiative animale. Nous avons besoin de cette collaboration car nous partageons tous le même objectif : améliorer la qualité de vie des animaux », commente le Ministre amarante.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

La mobilisation citoyenne montre bien que la place de l'animal est devenue un enjeu sociétal

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles : « La place de l'animal est devenue un enjeu sociétal ».

Extraits de l'article publié par La Capitale :

Cet été, ce fut la surprise générale lorsque la commune de Saint-Josse a annoncé la tenue d'une course hippique en plein cœur de Bruxelles. De nombreux citoyens et associations n'ont pas tardé à réagir pour marquer leur désapprobation.

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« Ni moi ni mon administration n'étions au courant de l'organisation d'un tel événement. Dès que j'ai vu cette information passer sur les réseaux sociaux, j'ai immédiatement sollicité Bruxelles Environnement pour enquêter sur les conditions dans lesquelles cette course était organisée. Fort heureusement, celle-ci a été annulée quelques jours plus tard face à la colère de la population », explique le ministre Bernard Clerfayt (DéFI).

[…]

« La mobilisation citoyenne autour de l'organisation de cette course de chevaux montre encore une fois que la place de l'animal est devenue un enjeu sociétal de premier ordre. De mon côté, j'ai décidé d'ajouter l'interdiction pure et simple des courses de chevaux sur la voie publique dans notre code », conclut le ministre.