Réduire l'expérimentation animale

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Lutte contre l'expérimentation animale : la Région bruxelloise soutient un projet de l'UCL".

Extraits de l'article publié par La Capitale

Le Gouvernement a approuvé l'octroi d'une subvention de 55.000€ à l'UCL pour son projet « Alternatives aux expérimentations animales ». L'objectif : éviter l'utilisation d'animaux lors d'expériences réalisées dans le cadre de traitements contre le cancer.

[…] « La science a évolué et a fait naître des alternatives n'impliquant pas d'animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l'homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d'animaux utilisés dans des expériences », explique le ministre bruxellois du Bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI).

[…] Le but du projet : développer la culture in vitro d'organoïdes dans le cadre des traitements contre le cancer. Cette méthode permet de modéliser de nombreux tissus humains et évite ainsi l'utilisation d'animaux de laboratoire.

[…] « Il est important qu'aujourd'hui un maximum d'acteurs s'engage dans le développement de solutions alternatives à l'expérimentation animale. Le projet de l'UCL s'oriente résolument vers cet objectif et je m'en réjouis », conclut Bernard Clerfayt.

Lutte contre l’expérimentation animale : la Région bruxelloise soutient un projet de l’UCL

Communiqué de presse

Sur proposition du Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, le Gouvernement a approuvé l’octroi d’une subvention de 55.000€ à l’Université Catholique de Louvain pour son projet « Alternatives aux expérimentations animales ». L’objectif : éviter l’utilisation d’animaux lors d’expériences réalisées dans le cadre de traitements contre le cancer.

En Région bruxelloise, le nombre d’animaux utilisés lors d’expériences a diminué de 38,5% par rapport à 2015, mais il reste toujours trop élevé. Actuellement, il n’est pas possible de remplacer totalement l’expérimentation animale. Mais des alternatives existent et sont de plus en plus nombreuses.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux utilisés dans des expériences », explique Bernard Clerfayt.

De son côté, l’Université Catholique de Louvain (UCL) mène un projet « Alternatives aux expérimentations animales » qui se réfère au pilier éthique européen en matière d’expérimentation animale : les 3R (remplacement, raffinement et réduction).

Le but du projet : développer la culture in vitro d’organoïdes dans le cadre des traitements contre le cancer. Cette méthode permet de modéliser de nombreux tissus humains et évite ainsi l’utilisation d’animaux de laboratoire.

Pour mener à bien ces recherches, la Région bruxelloise débloque 55.000€.

« Il est important qu’aujourd’hui un maximum d’acteurs s’engage dans le développement de solutions alternatives à l’expérimentation animale. Le projet de l’UCL s’oriente résolument vers cet objectif et je m’en réjouis », conclut Bernard Clerfayt.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Lutte contre l’expérimentation animale

Actualité
Lutte contre l’expérimentation animale

La Région de Bruxelles-Capitale confirme une nouvelle fois sa volonté de continuer la lutte contre l’expérimentation animale. L’Université Catholique de Louvain sera subventionnée pour la mise en œuvre de méthodes alternatives dans le cadre de traitements contre le cancer.

Culture in vitro d’organoïdes

L’Université Catholique de Louvain (UCL) mène un projet « Alternatives aux expérimentations animales » qui se réfère au pilier éthique européen en matière d’expérimentation animale : les 3R (remplacement, raffinement et réduction).

Le but du projet : développer la culture in vitro d’organoïdes dans le cadre des traitements contre le cancer. Cette méthode permet de modéliser de nombreux tissus humains et évite ainsi l’utilisation d’animaux de laboratoire.

Pour soutenir ces recherches, la Région bruxelloise débloque 55.000€. « Il est important qu’aujourd’hui un maximum d’acteurs s’engage dans le développement de solutions alternatives à l’expérimentation animale. Le projet de l’UCL s’oriente résolument vers cet objectif et je m’en réjouis », conclut Bernard Clerfayt.

Des alternatives de plus en plus nombreuses

En Région bruxelloise, le nombre d’animaux utilisés lors d’expériences a diminué de 38,5% par rapport à 2015, mais il reste toujours trop élevé. C’est pourquoi la lutte contre l’expérimentation animale est toujours une priorité.

Actuellement, il n’est pas possible de remplacer totalement l’expérimentation animale. Mais des alternatives existent et sont de plus en plus nombreuses.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux utilisés dans des expériences », explique Bernard Clerfayt.

Conditions de maintien d'un abattoir en Région bruxelloise

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Le bien-être des animaux doit être pris en compte si le gouvernement envisage de garder un abattoir".

Extraits de l'article publié par La Capitale

Actuellement, l’abattage est autorisé sans étourdissement à Bruxelles, seule région à l’autoriser en Belgique. Le sujet est revenu au parlement mercredi et le ministre Bernard Clerfayt (DéFI), en charge du Bien-être animal, a fait le point.

[…] « Il est très clair que le bien-être des animaux doit être pris en compte, si le gouvernement envisage une éventuelle poursuite de l’activité d’un abattoir dans la région bruxelloise. Cela vaut également pour le cas où le permis d’environnement serait renouvelé », déclare le ministre du Bien-être animal.

[…] « Il est très clair que le bien-être des animaux doit être pris en compte, si le gouvernement envisage une éventuelle poursuite de l’activité d’un abattoir dans la région bruxelloise. Cela vaut également pour le cas où le permis d’environnement serait renouvelé », déclare le ministre du Bien-être animal.

[…] « Des dispositions sont prévues pour renforcer le contrôle des abattoirs et assurer une meilleure surveillance de ce type d’activité. En plus d’une licence environnementale, un permis sera nécessaire pour exercer les activités d’abattage, et tous les abattoirs seront obligatoirement équipés d’un système de vidéosurveillance qui permettra de contrôler à tout moment les lieux stratégiques », indique l’élu amarante. « Dans le nouveau code, nous proposons que les abattoirs disposent d’une licence spécifique basée sur le bien-être des animaux. C’est l’une des innovations. La première lecture du code est presque terminée. » La première lecture du code est presque terminée. D’ici quelques semaines, le texte sera envoyé au Conseil d’État et, après son avis, au parlement, estime le ministre.

Manifestations festives et bien-être animal

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale  "Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles : « La place de l'animal est devenue un enjeu sociétal »".

Extraits de l'article publié par La Capitale

En août dernier, la commune de Saint-Josse annonçait son souhait d'organiser une course hippique en plein cœur de Bruxelles. Ce mercredi en commission, le ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), est revenu sur l'événement qui a suscité la polémique.

[…] « La mobilisation citoyenne autour de l'organisation de cette course de chevaux montre encore une fois que la place de l'animal est devenue un enjeu sociétal de premier ordre. De mon côté, j'ai décidé d'ajouter l'interdiction pure et simple des courses de chevaux sur la voie publique dans notre code », conclut le ministre.

Lire l'article sur le site Sudpresse

Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles

Actualité
Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles

En août dernier, la commune de Saint-Josse-ten-Noode annonçait son souhait d’organiser une course hippique en plein cœur de Bruxelles. Ce mercredi en commission parlementaire, le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, est revenu sur l’événement qui a suscité la polémique. Ce dernier a rappelé sa volonté d’inscrire l’interdiction des courses de chevaux sur la voie publique, dans le nouveau code bruxellois du bien-être animal.

Un projet fort heureusement abandonné

Cet été, ce fût la surprise générale lorsque la commune de Saint-Josse a annoncé la tenue d’une course hippique en plein cœur de Bruxelles. De nombreux citoyens et associations n’ont pas tardé à réagir pour marquer leur désapprobation.

« Ni moi ni mon administration n’étions au courant de l’organisation d’un tel événement. Dès que j’ai vu cette information passer sur les réseaux sociaux, j’ai immédiatement sollicité Bruxelles Environnement pour enquêter sur les conditions dans lesquelles cette course était organisée. Fort heureusement, celle-ci a été annulée quelques jours plus tard face à la colère de la population », explique le Ministre amarante.

Les écueils de la législation actuelle

À l’heure actuelle, la loi de 1986 autorise les courses de chevaux en rue pour autant qu’elles ne se tiennent pas sur un revêtement en matériaux durs (asphalte, béton, etc.). Autrement dit, si l’organisateur veille à poser une couche de sable suffisante sur le sol, ce type de course peut encore avoir lieu, même en plein cœur de Bruxelles. C’est d’ailleurs le cas en Flandre.

Interdire pour anticiper sur de potentielles initiatives

Cet été, Bernard Clerfayt a déposé un nouveau code bruxellois du bien-être animal sur la table du gouvernement bruxellois. Cette réforme ambitieuse dépoussière la loi de 1986 et contient une centaine d’articles qui redéfinissent les fondements de la protection animale en Région bruxelloise. Et le Ministre compte bien ajouter une mesure visant à interdire les courses hippiques sur la voie publique.

« La mobilisation citoyenne autour de l’organisation de cette course de chevaux montre encore une fois que la place de l’animal est devenue un enjeu sociétal de premier ordre. De mon côté, j’ai décidé d’ajouter l’interdiction pure et simple des courses de chevaux sur la voie publique dans notre code », conclut le Ministre.

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Communiqué de presse

En août dernier, la commune de Saint-Josse-ten-Noode annonçait son souhait d’organiser une course hippique en plein cœur de Bruxelles. Ce mercredi en commission, le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, est revenu sur l’événement qui a suscité la polémique. Ce dernier a rappelé sa volonté d’inscrire l’interdiction des courses de chevaux sur la voie publique dans le nouveau code bruxellois du bien-être animal.

Cet été, ce fût la surprise générale lorsque la commune de Saint-Josse a annoncé la tenue d’une course hippique en plein cœur de Bruxelles. De nombreux citoyens et associations n’ont pas tardé à réagir pour marquer leur désapprobation.

« Ni moi ni mon administration n’étions au courant de l’organisation d’un tel événement. Dès que j’ai vu cette information passer sur les réseaux sociaux, j’ai immédiatement sollicité Bruxelles Environnement pour enquêter sur les conditions dans lesquelles cette course était organisée. Fort heureusement, celle-ci a été annulée quelques jours plus tard face à la colère de la population », explique le Ministre amarante.

À l’heure actuelle, la loi de 1986 autorise les courses de chevaux en rue pour autant qu’elles ne se tiennent pas sur un revêtement en matériaux durs (asphalte, béton, etc.). Autrement dit, si l’organisateur veille à poser une couche de sable suffisante sur le sol, ce type de course peut encore avoir lieu, même en plein cœur de Bruxelles. C’est d’ailleurs le cas en Flandre.

Cet été, Bernard Clerfayt a déposé un nouveau code bruxellois du bien-être animal sur la table du gouvernement bruxellois. Cette réforme ambitieuse dépoussière la loi de 1986 et contient une centaine d’articles qui redéfinissent les fondements de la protection animale en Région bruxelloise. Et le Ministre compte bien ajouter une mesure visant à interdire les courses hippiques sur la voie publique.

« La mobilisation citoyenne autour de l’organisation de cette course de chevaux montre encore une fois que la place de l’animal est devenue un enjeu sociétal de premier ordre. De mon côté, j’ai décidé d’ajouter l’interdiction pure et simple des courses de chevaux sur la voie publique dans notre code », conclut le Ministre.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45