Bien-être animal : la Région soutien les projets des associations

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Espace de jeux pour les chiens

Sur 22 projets introduits par les asbl auprès de Bruxelles Environnement, 13 ont été sélectionnés pour un montant de 147.488 euros. Certains projets retenus innovent, par exemple, le refuge Veeweyde et son projet de « mantrailing », discipline olfactive qui s’apparente au pistage. Cela permet à l’homme de créer un lien avec l’animal et aux chiens du refuge de se dépenser tout en adoptant les codes canins utiles à leur future adoption.

Autres exemples de projets qui bénéficieront de la subvention :

  • Le soutien aux soins des animaux domestiques des personnes défavorisées par la Fondation Prince Laurent.
  • Les activités de sensibilisation aux besoins des animaux de la Ferme d’Anjou située à Woluwe-Saint-Pierre.

« Le bien-être animal est l’affaire de tous. Les associations et les citoyens font preuve d’innovation en matière d’initiative animale. Nous avons besoin de cette collaboration car nous partageons tous le même objectif : améliorer la qualité de vie des animaux », commente Bernard Clerfayt.

Place essentielle des associations actives en matière de bien-être animal

En juin dernier, le Ministre du Bien-être animal avait lancé un appel à projets à destination des asbl actives en matière de bien-être animal. Le but : soutenir la mise en œuvre de projets visant à améliorer le bien-être des animaux en ville. 

Améliorer la protection et le bien-être des animaux domestiques est une priorité en Région bruxelloise. Après un nouveau code bruxellois du bien-être animal déposé sur la table du gouvernement cet été, le Ministre bruxellois du bien-être animal a lancé un nouvel appel à projets à destination du secteur associatif.

« La mission des associations actives en matière de bien-être animal est indispensable et vient renforcer le travail des pouvoirs publics. Sensibilisation et information, soutien aux propriétaires ou encore aide aux animaux blessés, perdus ou abandonnés, le but ici est de financer des projets qui ont un impact direct sur le bien-être des animaux », explique Bernard Clerfayt.

La Région bruxelloise soutient 13 projets d’asbl actives en matière de bien-être animal

Communiqué de presse

En juin dernier, le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, a lancé un appel à projets à destination des asbl actives en matière de bien-être animal. Le but : soutenir la mise en œuvre de projets visant à améliorer le bien-être des animaux en ville. Au total, 13 projets ont été sélectionnés et seront financés à hauteur de 147.488 euros.

Améliorer la protection et le bien-être des animaux domestiques est une priorité en Région bruxelloise. Après un nouveau code bruxellois du bien-être animal déposé sur la table du gouvernement cet été, le Ministre bruxellois du bien-être animal a lancé un nouvel appel à projets à destination du secteur associatif.

« La mission des associations actives en matière de bien-être animal est indispensable et vient renforcer le travail des pouvoirs publics. Sensibilisation et information, soutien aux propriétaires ou encore aide aux animaux blessés, perdus ou abandonnés, le but ici est de financer des projets qui ont un impact direct sur le bien-être des animaux », explique Bernard Clerfayt.

Sur les 22 projets introduits auprès de Bruxelles Environnement, 13 ont été sélectionnés pour un montant de 147.488 euros. Si certains projets permettent la continuité d’activités déjà bien ancrées, d’autres constituent des nouveautés pour le milieu associatif de la protection animale à Bruxelles. Par exemple, le refuge Veeweyde et son projet de « mantrailing », discipline olfactive qui s’apparente au pistage. Cela permet à l’homme de créer un lien avec l’animal et aux chiens du refuge de se dépenser tout en adoptant les codes canins utiles à leur future adoption.

Autres exemples de projets qui bénéficieront de la subvention :

  1. Le soutien aux soins des animaux domestiques des personnes défavorisées par la Fondation Prince Laurent.
  2. Les activités de sensibilisation aux besoins des animaux de la Ferme d’Anjou située à Woluwe-Saint-Pierre.

« Le bien-être animal est l’affaire de tous. Les associations et les citoyens font preuve d’innovation en matière d’initiative animale. Nous avons besoin de cette collaboration car nous partageons tous le même objectif : améliorer la qualité de vie des animaux », commente le Ministre amarante.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

La mobilisation citoyenne montre bien que la place de l'animal est devenue un enjeu sociétal

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Pas de courses de chevaux dans les rues de Bruxelles : « La place de l'animal est devenue un enjeu sociétal ».

Extraits de l'article publié par La Capitale :

Cet été, ce fut la surprise générale lorsque la commune de Saint-Josse a annoncé la tenue d'une course hippique en plein cœur de Bruxelles. De nombreux citoyens et associations n'ont pas tardé à réagir pour marquer leur désapprobation.

[…]

« Ni moi ni mon administration n'étions au courant de l'organisation d'un tel événement. Dès que j'ai vu cette information passer sur les réseaux sociaux, j'ai immédiatement sollicité Bruxelles Environnement pour enquêter sur les conditions dans lesquelles cette course était organisée. Fort heureusement, celle-ci a été annulée quelques jours plus tard face à la colère de la population », explique le ministre Bernard Clerfayt (DéFI).

[…]

« La mobilisation citoyenne autour de l'organisation de cette course de chevaux montre encore une fois que la place de l'animal est devenue un enjeu sociétal de premier ordre. De mon côté, j'ai décidé d'ajouter l'interdiction pure et simple des courses de chevaux sur la voie publique dans notre code », conclut le ministre.

Alternatives à l'expérimentation animale

Extrait de presse
Extrait de presse, Sudpresse : "Lutte contre l'expérimentation animale : la VUB va développer une app' pour faire découvrir les méthodes alternatives".

Extraits de l'article publié par Sudpresse

La Région bruxelloise a accordé 300.000 euros de subventions à la VUB afin de soutenir le développement et la diffusion d'alternatives à l'expérimentation animale mais aussi d'assurer la sensibilisation du grand public.

[…]

L'année prochaine, de nouveaux moyens de sensibilisation verront le jour, dont le développement d'une application nommée « Tickle ». Cette plateforme, créée par une doctorante, utilise les atouts du gaming (jeu, défi, etc.) pour sensibiliser les étudiants aux principes des 3R : Remplacement, Raffinement et Réduction, piliers éthiques européens en matière d'expérimentation animale.

Parallèlement, une nouvelle activité permettra aux enseignants bruxellois de biologie, sciences naturelles, sciences morales, etc. de suivre une journée de formation sur les méthodes alternatives à l'expérimentation animale et aux principes des 3R.

[…] « La science évolue et fait naître des alternatives n'impliquant pas d'animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l'homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d'animaux utilisés dans des expériences », explique Bernard Clerfayt (DéFI), ministre du Bien-être animal.

Article publié par Sudpresse

Réduire l'expérimentation animale

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Lutte contre l'expérimentation animale : la Région bruxelloise soutient un projet de l'UCL".

Extraits de l'article publié par La Capitale

Le Gouvernement a approuvé l'octroi d'une subvention de 55.000€ à l'UCL pour son projet « Alternatives aux expérimentations animales ». L'objectif : éviter l'utilisation d'animaux lors d'expériences réalisées dans le cadre de traitements contre le cancer.

[…] « La science a évolué et a fait naître des alternatives n'impliquant pas d'animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l'homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d'animaux utilisés dans des expériences », explique le ministre bruxellois du Bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI).

[…] Le but du projet : développer la culture in vitro d'organoïdes dans le cadre des traitements contre le cancer. Cette méthode permet de modéliser de nombreux tissus humains et évite ainsi l'utilisation d'animaux de laboratoire.

[…] « Il est important qu'aujourd'hui un maximum d'acteurs s'engage dans le développement de solutions alternatives à l'expérimentation animale. Le projet de l'UCL s'oriente résolument vers cet objectif et je m'en réjouis », conclut Bernard Clerfayt.

Lutte contre l’expérimentation animale : la Région bruxelloise soutient un projet de l’UCL

Communiqué de presse

Sur proposition du Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, le Gouvernement a approuvé l’octroi d’une subvention de 55.000€ à l’Université Catholique de Louvain pour son projet « Alternatives aux expérimentations animales ». L’objectif : éviter l’utilisation d’animaux lors d’expériences réalisées dans le cadre de traitements contre le cancer.

En Région bruxelloise, le nombre d’animaux utilisés lors d’expériences a diminué de 38,5% par rapport à 2015, mais il reste toujours trop élevé. Actuellement, il n’est pas possible de remplacer totalement l’expérimentation animale. Mais des alternatives existent et sont de plus en plus nombreuses.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux utilisés dans des expériences », explique Bernard Clerfayt.

De son côté, l’Université Catholique de Louvain (UCL) mène un projet « Alternatives aux expérimentations animales » qui se réfère au pilier éthique européen en matière d’expérimentation animale : les 3R (remplacement, raffinement et réduction).

Le but du projet : développer la culture in vitro d’organoïdes dans le cadre des traitements contre le cancer. Cette méthode permet de modéliser de nombreux tissus humains et évite ainsi l’utilisation d’animaux de laboratoire.

Pour mener à bien ces recherches, la Région bruxelloise débloque 55.000€.

« Il est important qu’aujourd’hui un maximum d’acteurs s’engage dans le développement de solutions alternatives à l’expérimentation animale. Le projet de l’UCL s’oriente résolument vers cet objectif et je m’en réjouis », conclut Bernard Clerfayt.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Lutte contre l’expérimentation animale

Actualité
Lutte contre l’expérimentation animale

La Région de Bruxelles-Capitale confirme une nouvelle fois sa volonté de continuer la lutte contre l’expérimentation animale. L’Université Catholique de Louvain sera subventionnée pour la mise en œuvre de méthodes alternatives dans le cadre de traitements contre le cancer.

Culture in vitro d’organoïdes

L’Université Catholique de Louvain (UCL) mène un projet « Alternatives aux expérimentations animales » qui se réfère au pilier éthique européen en matière d’expérimentation animale : les 3R (remplacement, raffinement et réduction).

Le but du projet : développer la culture in vitro d’organoïdes dans le cadre des traitements contre le cancer. Cette méthode permet de modéliser de nombreux tissus humains et évite ainsi l’utilisation d’animaux de laboratoire.

Pour soutenir ces recherches, la Région bruxelloise débloque 55.000€. « Il est important qu’aujourd’hui un maximum d’acteurs s’engage dans le développement de solutions alternatives à l’expérimentation animale. Le projet de l’UCL s’oriente résolument vers cet objectif et je m’en réjouis », conclut Bernard Clerfayt.

Des alternatives de plus en plus nombreuses

En Région bruxelloise, le nombre d’animaux utilisés lors d’expériences a diminué de 38,5% par rapport à 2015, mais il reste toujours trop élevé. C’est pourquoi la lutte contre l’expérimentation animale est toujours une priorité.

Actuellement, il n’est pas possible de remplacer totalement l’expérimentation animale. Mais des alternatives existent et sont de plus en plus nombreuses.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux utilisés dans des expériences », explique Bernard Clerfayt.