Covid-19 : Des démarches administratives ? Faites-les en ligne !

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Durant cette période de crise du Covid-19, faites vos démarches administratives en  ligne

Bernard Clerfayt recommande aux citoyens bruxellois, sauf cas d’urgence, de ne pas se rendre dans les services administratifs bruxellois et de privilégier un maximum tous les outils électroniques mis à disposition. Les mesures d’évitement sont à l’heure actuelle le seul moyen d’endiguer la propagation du COVID-19. 

Aujourd'hui, beaucoup de démarches administratives peuvent être faites en ligne. En effet, plusieurs plateformes sécurisées facilitent l’envoi et la réception de documents légaux, sans devoir se rendre à l’administration régionale ou communale.

On y retrouve le guichet électronique IRISbox, qui propose des services régionaux et locaux en ligne. L'application "mon dossier", qui permet au citoyen de consulter son dossier personnel au Registre national. L'application "My Benefits" afin d'accéder à certains avantages sociaux. Ou encore, l'interface sécurisé My e-box, qui permet au citoyen de recevoir, conserver et gérer tous ses documents officiels de manière digitale et en toute sécurité.

« Respecter les mesures de confinement est le seul moyen d’endiguer la propagation du coronavirus. Les citoyens, dans leur contact avec les administrations communales, doivent privilégier les communications digitales et limiter leurs déplacements au strict nécessaire. D’autant qu’aujourd’hui plusieurs démarches administratives sont disponibles en ligne », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux et de la Transition numérique et Simplification administrative. 

+d'infos. 

Les communes bruxelloises sont assainies

Extrait de presse

Extraits de l'article du Soir en Une et en page 2

Les dix-neuf budgets 2018, cumulés, affichent un boni ; l’endettement (1,47 milliard) est sous contrôle… « La situation globale s’est nettement améliorée, elle est aujourd’hui très bonne », confirme Bernard Clerfayt, en charge des Pouvoirs locaux. Mais le ministre Défi glisse aussitôt quelques bémols.

Un : il existe de grandes disparités entre les communes. […] L’explication réside dans la structure des recettes communales bruxelloises, alimentées, pour un tiers, par les additionnels au précompte immobilier. « Or, les communes du nord-ouest en perçoivent moins, notamment parce qu’elles ont peu de bureaux sur leur territoire », explique Clerfayt.

Deux : les besoins sont très contrastés. Le boom démographique est plus marqué dans certaines communes que d’autres […] les communes du Canal éprouvent plus de difficultés. « Peut-être faut-il aider davantage ces communes-là ? », observe Bernard Clerfayt.

[…] les fonctionnaires communaux manifestent depuis plusieurs mois pour réclamer une revalorisation barémique. […] La Région consacre déjà plus de 30 millions par an pour soutenir les revalorisations salariales, Bernard Clerfayt évoque « un soutien partiel » pour les nouvelles demandes. Mais les communes devront aussi dégager des moyens.

[…] Derniers motifs d’inquiétude : les dépenses de police, jusqu’ici «bien maîtrisées». «Mais elles restent supérieures, à Bruxelles, c’est préoccupant», souligne Bernard Clerfayt. Qui plaide pour que le fédéral «rééquilibre les moyens octroyés aux zones urbaines, par rapport aux zones rurales».

Article en ligne sur le site du Soir (payant)

 

Interview de Bernard Clerfayt sur Vivacité à propos des pouvoirs locaux

"Il s’agit d’agents communaux. Ils ont donc les communes pour employeur" rappelle Bernard Clerfayt

Extrait de presse

Extrait d'un article du Soir de ce 7 novembre

De son côté, Bernard Clerfayt, interpellé à plusieurs reprises au Parlement, insiste : « Il s’agit d’agents communaux. Ils ont donc les communes pour employeur. Celles qui le souhaitent et qui disposent des marges budgétaires suffisantes peuvent prendre des mesures pour revaloriser les barèmes de leurs employés. Ce sont donc les communes qu’il faut interpeller ! Même si je sais qu’elles aimeraient que la Région mette à leur disposition les moyens nécessaires. » Soit, selon les chiffres de Sven Gatz, 130 millions pour les 19 communes et CPAS.

EasyBrussels : simplifier, faciliter et inclure

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Le Ministre de la transition numérique et de la simplification administrative au comité de pilotage de EasyBrussels

Nous sommes 80% de Bruxellois à utiliser les outils numériques, ne fût-ce qu’à travers notre smartphone. L’accès aux services publics via les guichets numériques réduit le temps d’interface pour le citoyen connecté si les données sont centralisées et l’ergonomie étudiée.

Pour ceux d’entre nous qui éprouvent plus de difficultés, il faut des solutions tout en leur permettant de bénéficier d’apprentissages, pour une transition numérique inclusive.

Comme le Ministre de la transition numérique Bernard Clerfayt l’évoquait lors de son discours devant le comité de pilotage de EasyBrussels : « nos administrations doivent donc s’adapter très vite au changement, tout en fournissant un service adapté pour garantir aux personnes moins engagées numériquement d’avoir accès au même niveau de service. Ceci évidemment complique la dynamique du changement. […] Nous sommes le service public et nos usagers, numériquement inclus ou non, doivent être servis.»

Cette difficulté n’est pas un obstacle et le Gouvernement veut avancer car les outils numériques sont aussi une formidable opportunité pour faciliter la tâche du citoyen et des entreprises qui doivent obtenir des services et des documents officiels. L’accès facilité et l’automatisation d’une partie des interactions nous permettra de réduire les coûts.

Le service régional EasyBrussels s’est vu assigné 7 missions : inclusion numérique, marchés publics en ligne, facturation électronique, centralisation et vérification des données pour éviter les collectes de données fastidieuses (Once only), centralisation des démarches, guichet virtuel, Open Data (données publiques anonymisées).

Des règles «claires objectives et prévisibles» pour les communes et les CPAS

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Première rencontre du Ministre en charge des pouvoirs locaux avec les agents de BPL

En Région bruxelloise, on a besoin de cohérence entre les communes. Parce que tous les Bruxellois, quelle que soit leur lieu de résidence, doivent bénéficier de services aux citoyens efficaces. C’est pour cela que Bruxelles Pouvoirs Locaux (BPL) accompagne et contrôle les communes et les CPAS.

Bernard Clerfayt a fait de sa commune de Schaerbeek un des exemples de bonne gestion en Région bruxelloise, et aujourd’hui, en tant que Ministre en charge des pouvoirs locaux, il veut définir avec BPL des objectifs clairs.

La priorité sera de simplifier et d’optimiser les procédures, de rendre plus lisibles les dispositions légales qui garantissent la conformité des actes des pouvoirs locaux. « En ma qualité de Ministre de tutelle, je suis un fervent partisan de règles claires objectives et prévisibles afin de permettre un maximum de transparence et d’équité dans le traitement des dossiers. Un cadre clair et défini est le meilleur garant d’une politique juste. » a déclaré Bernard Clerfayt lors de sa première rencontre avec les agents de BPL ce 24 septembre.

Bruxelles Pouvoirs Locaux est une des 6 administrations du Service Public Régional Bruxellois et emploie 100 personnes. Voici ses missions principales :

  1. Organiser juridiquement les pouvoirs locaux et les affaires intérieures
  2. Contrôler la légalité et la conformité à l’intérêt général des décisions des pouvoirs locaux
  3. Financer les pouvoirs locaux
  4. Conseiller les pouvoirs locaux, le Gouvernement ou d’autres interlocuteurs par le traitement et la diffusion des connaissances
  5. Impulser la mise en œuvre de certaines politiques régionales dans les communes
  6. Prendre des mesures d’exécution en matière d’affaires intérieures
  7. Organiser les élections communales
  8. L’indemnisation des dommages causés par des calamités publiques

Ministre des Pouvoirs locaux

Les 19 communes bruxelloises sont les pouvoirs locaux les plus connus et proches des citoyens. Mais plus de 200 institutions ou organismes bruxellois sont concernés par la politique menée par le ministre des Pouvoirs locaux Bernard Clerfayt.

Parmi les institutions concernées dans la compétence régionale du ministre des Pouvoirs locaux, les 19 communes bruxelloises

Pourquoi une politique des pouvoirs locaux ?

Tous les Bruxellois doivent avoir les mêmes droits et bénéficier des mêmes services, quelle que soit leur commune. C’est pourquoi la Région de Bruxelles-Capitale organise, contrôle, finance et conseille les pouvoirs locaux sur son territoire. Le gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale exerce ce pouvoir à travers son administration Bruxelles Pouvoirs Locaux (BPL), l’une des six administrations du Service public régional de Bruxelles (SPRB).

Comment la tutelle sur les pouvoirs locaux s’exerce-t-elle ?

  • En édictant des normes juridiques, les ordonnances, qui organisent les pouvoirs locaux et les affaires intérieures qui leur sont propres
  • En contrôlant la légalité et la conformité à l’intérêt général des décisions des pouvoirs locaux
  • Par des soutiens financiers : la Dotation Générale aux Communes (DGC), les subventions ou encore les possibilités d’emprunt
  • En conseillant les pouvoirs locaux, le Gouvernement ou d’autres interlocuteurs par le traitement et la diffusion des connaissances
  • En impulsant la mise en œuvre de certaines politiques régionales dans les communes
  • En édictant des règles pour les élections communales (code électoral)

Des infrastructures sportives plus proches de chez vous

Plus d’infrastructures sportives de proximité, mieux réparties sur le territoire de la Région, un cap tenu par le ministre des pouvoirs locaux pour satisfaire une demande grandissante. Concrètement, près de 111 millions ont été débloqués et mis à disposition des communes à l’initiative du ministre lors des 4 premières années de cette législature. Les critères énoncés dans les appels à projets donnent priorité aux petits équipements de proximité et aux infrastructures situées dans les quartiers les moins bien équipés.

La fin du cumul des mandats

Après la prochaine échéance électorale d’octobre 2024, il sera interdit de cumuler les mandats de bourgmestre ou d’échevin avec celui de député régional, fédéral ou européen. Les mandats d’exécutif dans les communes sont toujours plus exigeants, en disponibilité et en compétence. C’est aussi une raison pour laquelle le ministre des Pouvoirs locaux a voulu le décumul intégral de ces fonctions, désormais inscrit dans l’ordonnance du 6 juillet 2022. Le nombre de membres du Collège communal sera également réduit d’un, voire de deux échevins. Concomitamment, la revalorisation des rémunérations pourra être appliquée sans coût supplémentaire pour les finances communales.

Revalorisation inédite pour les agents communaux

Les salaires des agents communaux étaient les plus bas des trois régions, une revalorisation était attendue depuis plusieurs années. Le ministre des Pouvoirs locaux a conclu un accord sectoriel d’un montant total de 75 millions avec le soutien de la Région pour les deux tiers du montant. Pour plus d’équité et pour garantir l’attractivité de ces postes à responsabilité, les grades légaux, c’est-à-dire les hauts fonctionnaires (secrétaire communal, receveur communal) sont eux aussi revalorisés, la première augmentation substantielle depuis 1991 !

Pour en savoir plus sur Bruxelles Pouvoirs locaux, consultez les site web de l'administration Bruxelles pouvoirs locaux.

Équité de traitement et déontologie

Des règles claires ont été édictées concernant l’absence ou l’empêchement des mandataires des exécutifs locaux. Au-delà de trois mois d’absence pour cause de maladie sous certificat médical, le bourgmestre ou l’échevin en incapacité de travail émargera au régime d’assurance maladie qui lui est propre.
Le ministre des Pouvoirs locaux Bernard Clerfayt prépare des textes législatifs qui établiront des règles de déontologie et d’éthique pour les conseillers communaux, de même que pour le personnel de cabinets des bourgmestre et échevins. Ce projet doit encore poursuivre son parcours législatif.

Des règles plus claires pour le contrôle des asbl communales

Pour réaliser leurs missions sociales, culturelles, sportives, etc., dans tous leurs domaines de compétences, les communes développent des services spécifiques sous forme d’asbl communales. À l’instigation du ministre des pouvoirs locaux, l’ordonnance du 9 février 2023 renforce, clarifie et améliore le contrôle de ces asbl par les communes elles-mêmes et par le pouvoir de tutelle, la Région, à travers son administration, BPL.
La commune exerce un contrôle de première ligne. Pour le contrôle par la tutelle régionale, le contrôle est plus ou moins étendu en fonction de la taille de l’asbl, déterminée par des critères selon le nombre d’employés, le chiffre d’affaires annuel et le total du bilan de l’asbl.
Les obligations des asbl en matière de transmission de documents sont aussi définies dans cette ordonnance. Ainsi, une liste de toutes les asbl communales sera établie annuellement

Élections communales : des procédures plus simples

Grâce au pointage électronique centralisé, il est mis fin à la manipulation des listes papier dans les bureaux de vote, et surtout, les électeurs munis d’une procuration émise par un proche habitant dans la commune peuvent demander à voter dans un même bureau. La numérisation de toute la procédure de vote simplifie le travail dans les bureaux, offre des facilités supplémentaires et réduit les coûts. Le vote électronique est également désormais le système par défaut.

Quelques actualités du ministre des Pouvoirs locaux :