Une app pour retrouver son animal

L'appli animal Research débarque à Auderghem

Extraits de l'article paru dans La Capitale

Quand son animal de compagnie disparaît, c’est parfois le parcours du combattant pour le retrouver. L’ASBL Animal Research propose de faciliter la recherche grâce à une appli. Elle débarque à Auderghem.

[…] « En Région bruxelloise, des centaines d’animaux sont trouvées chaque année sur la voie publique. Ces situations sont une source de stress importante pour l’animal et pour son maître », note le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt (DéFI). « Avec cette appli, tout est centralisé en un seul endroit et elle met en contact immédiat ceux qui ont perdu et trouvé un animal. »

Titres-services : chiffres 2021

83,94 % des 75.784 signalements sur Fix My Street ont été résolus en 2021

Extraits de l'article paru dans La Capitale

[…] En 2021, un total de 8.629 utilisateurs a fait part de 75.784 défectuosités de l’espace public, soit une augmentation de 23,03 % du nombre d’utilisateurs et de 7,59 % du nombre de signalements. Chaque utilisateur signale une moyenne de 2,8 incidents. Les signalements ont été réalisés par une proportion de 73 % primo utilisateurs.

[…] « Fix My Street est un exemple de plus de ce que la technologie peut apporter pour transformer le quotidien des Bruxellois. Simplicité, rapidité, suivi, etc. les avantages sont nombreux et contribuent à améliorer la qualité des services publics bruxellois », commente Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois en charge de la Transition numérique.

[…]

Abattage avec étourdissement préalable : propostition d'ordonnance déposée au parlement

L'abattage rituel ravive les tensions entre PS de DéFI dans l'exécutif bruxellois

Extraits de l'article publié par La Libre

[…] Défi, Groen et l’Open VLD – trois partis de la majorité – ont déposé ce jeudi une proposition d’ordonnance au Parlement bruxellois visant à interdire l’abattage sans étourdissement dans la région bruxelloise.

[…] Pour rappel, ce projet avait été mis sur la table du gouvernement par Bernard Clerfayt (Défi), ministre du Bien-être animal, au sortir de l’été dernier.
Une telle interdiction est déjà appliquée en Wallonie et en Flandre depuis 2019, après avoir été validée par la Cour constitutionnelle le 30 septembre, malgré un recours d’associations religieuses islamiques et des personnalités de la communauté juive.
[…] C’est après cette décision que Bernard Clerfayt a déposé son projet. Le gouvernement n’était toutefois pas parvenu à se mettre d’accord et le sujet avait été renvoyé au Parlement, une pratique courante dans le chef du gouvernement Vervoort lorsqu’un nœud peine à être dénoué. “De quoi a peur le PS ? Ce dossier mérite un débat serein et apaisé. Il est regrettable que certains ne l’entendent pas de cette oreille. Pour rappel, ce sont les mêmes partis qui avaient voté favorablement aux décrets wallons et flamands ”, a réagi le ministre du Bien-être animal.
Le gouvernement bruxellois semble pour l’heure refuser de se laisser contaminer par les virulents échanges parlementaires. “On n’en a pas parlé du tout ce jeudi en gouvernement. Et le climat de travail était bon ”, nous assure un ministre bruxellois. Durant combien de temps ?

[…]

Procédures d'adoption des animaux

Animaux, adoption sous conditions - coupure de presse - magazine Moustique

Extraits d'un article publié par "Moustique"

Visite domicile, marque de croquettes impos e, installation de filet de s curit … Les refuges imposent parfois des conditions très strictes aux futurs adoptants. […]

Pour le ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, ces vérifications sont saines et légitimes. Même les inspections domicile. “Rien n’est prévu dans les textes sur le transfert de propriété lorsque l’animal est adopté, certains refuges considèrent donc qu’il reste le leur. Dans d’autres cas, la propriété est cédée à l’adoptant de façon implicite.” En somme, chaque refuge g re comme il veut sur ce point. Dans les faits, la présidente d’Every Cat affirme que les visites au domicile réalisées après l’adoption sont très rares.

Bien-être animal : le problème des colliers électriques

La Région bruxelloise étudie la possibilité d'interdire les colliers électriques

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

Le Conseil bruxellois du bien-être animal examine actuellement cette question. Cela fait suite à la décision prise par la Flandre d’interdire d’ici 2027 les colliers électriques pour chiens.

[…]  depuis des années, plusieurs associations et vétérinaires se mobilisent contre cette technique punitive et basée sur la douleur. Cet outil est considéré comme une voie royale vers la maltraitance animale. […] lorsqu’ils sont défectueux, utilisés de manière abusive ou à un niveau de puissance trop élevé, peuvent provoquer des contractions musculaires, des plaies au cou, des diarrhées, des tremblements ou encore un accroissement du niveau de stress induisant une accélération de la respiration et du rythme cardiaque », explique Jonathan de Patoul qui est également vétérinaire de formation. Il a interpellé récemment, au parlement bruxellois, le ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI), sur la question

[…]  « En tant que telle, l’utilisation de colliers électriques n’est pas interdite en Région bruxelloise, mais son utilisation abusive est déjà incriminée par l’article 1 er de la loi de 1986.
Celui-ci interdit de faire souffrir inutilement un animal par quelque moyen que ce soit, y compris au moyen d’un collier électrique », avance le ministre du Bien-être animal. « […] Le Conseil bruxellois du bien-être animal examine actuellement cette question. Ses travaux portent également sur d’autres types de dispositifs, comme les colliers étrangleurs. Le groupe de travail constitué en son sein se compose notamment de plusieurs associations de protection animale et d’associations de vétérinaires », précise Bernard Clerfayt.

Interview sur BX1+ : crise sanitaire, emploi, pouvoirs locaux

Bernard Clerfayt sur le plateau de l'émission +d'Actu ce 18 janvier 2022

Bernard Clerfayt était sur le plateau de BX1+ ce 18 janvier 2022 dans l’émission le cadre de l’émission « + d’Actu »

Vous pouvez visionner cette émission sur le site de BX1. Ci-dessous un bref compte-rendu.

Conséquences de la crise sanitaire

Dans une contexte qui reste incertain, « la dynamique de l’emploi reste très fragile ». Si les mesures prises par le gouvernement fédéral, telles le chômage temporaire, sont interrompues, on peut craindre des difficultés dans les entreprises. « Nous avons lancé la prime Phœnix qui sert à encourager la reprise de l’emploi ».

Par ailleurs, le plan qualification emploi vise à augmenter le niveau de compétence des chercheurs d’emploi car « les emplois à Bruxelles sont de plus en plus qualifiés et la formation, c’est la voie royale pour l’emploi ».

Le nombre de chercheurs d’emploi inscrits chez Actiris n’a pas explosé avec la crise, comme on aurait pu le craindre. Le chômage était en baisse depuis plusieurs années en Région bruxelloise.

À propos du chômage des jeunes

Le problème c’est la formation, le niveau d’étude. « Des jeunes arrivent sur le marché de l’emploi sans avoir terminé leurs secondaires, ou sans avoir terminé des études qualifiantes, professionnelles. Or le marché de l’emploi bruxellois est le plus exigent en termes de compétences.»

Il faut donc encourager tous ceux qui n’ont pas terminé leur cycle de reprendre leurs études ou faire valider leurs compétences. « Il y a des études très pratiques, des formations en alternance relativement courtes, de quelques mois, et bon nombre de formules souples, adaptées aux besoins de chacun. »

Les pouvoirs locaux et la Région bruxelloise

« Il y a un accord au niveau du gouvernement pour réformer la gouvernance locale. On veut diminuer le nombre d’échevins et encadrer différemment le mode de rémunération du bourgmestre et des échevins. Nous mettons aussi fin au cumul entre un député régional et un mandat local. »

Pour le Ministre des pouvoirs locaux, les futurs États généraux permettront d’aborder largement les questions liés à la gouvernance en Région bruxelloise. « On peut aussi se poser la question du fonctionnement de la Région. N’y a-t-il pas trop de mandataires ? Il y a peut-être aussi trop de ministres en Région bruxelloise.

En ce qui concerne les communes, « j’ai le sentiment qu’il y a une légitimité des communes qui assurent un pouvoir proche des gens comme il y a une légitimité pour une Région qui assume une vision large pour gérer les transports en commun, l’emploi, etc.

Les États généraux de la Région

« Le gouvernement a mandaté un groupe d’experts et de scientifiques fin de l’année dernière, qui vient de me remettre un rapport sur la liste des questions, dont celles que nous venons d’aborder. Le gouvernement doit retenir une liste de questions et la méthodologie. On veut que le débat sur une réorganisation institutionnelle de Bruxelles ne soit pas capté par les seuls partis politiques ou experts. »

L’intention, rappelle Bernard Clerfayt, est d’avoir un débat qui soit le plus large possible, où les citoyens auront leur mot à dire.

Conseils vétérinaires en vue de l'adoption ou de l'achat

Pour des chèques vétérinaire préadoption à Bruxelles

Extraits de l'article proposé par La Capitale

[…] Mettre en place des chèques vétérinaires préadoption ou préachat d’un animal. C’est la proposition avancée par le député bruxellois Jonathan de Patoul (DéFI) qui est lui-même vétérinaire de formation.
Il (Jonathan de Patoul, député bruxellois - ndlr) aimerait que cette possibilité soit introduite dans le cadre du label « Commune amie des animaux » qui demande aux communes désireuses d’obtenir ce label de respecter une série de critères en faveur du bien-être animal.

[…] « En fin d’année, nous revoyons systématiquement la liste des critères afin de la compléter, de la modifier ou de la renforcer. Votre suggestion sera prise en considération en fonction des pistes abordées. Le label est décerné chaque année, ce qui signifie qu’il n’y a pas de maintien automatique. Les communes doivent donc, d’une année à l’autre, remplir la liste des critères, à laquelle s’ajoute un nouveau critère chaque année, si elles souhaitent garder leur label et les subsides y afférents », a réagi le ministre du bien-être animal, Bernard Clerfayt (DéFI).

Matraitance animale

83 plaintes pour maltraitance animale en 2021

Extraits de l'article publié par La Capitale

[…] En 2021, 83 plaintes pour maltraitance animale ont été déposées auprès de ce service et l’ensemble des plaintes ont été jugées recevables, nous précise le cabinet du ministre Bernard Clerfayt, en charge du Bien-être animal. Un nombre stable puisqu’en 2020, 89 plaintes ont été introduites dont 87 ont été jugées recevables. Les deux autres ne concernaient pas le bien-être animal ou la région bruxelloise.

[…] Le futur code bruxellois du bien-être animal veillera à développer les outils existants en vue de prévenir et sanctionner encore plus efficacement les atteintes », commente Bernard Clerfayt (DéFI), ministre en charge du Bien-être animal.

IRISbox enregistre des records de demandes

Record de plus de 100.000 nouveaux utilisateurs à la plateforme IRISbox en 2021

Extraits de l'article paru dans la Dernière Heure

[…] Selon le ministre Bernard Clerfayt (Défi), en 2021, 101 nouvelles formalités ont été ajoutées : dérogation à la journée sans voiture, inscription aux plaines de vacances, demandes de prime à la rénovation ou encore demande d’autorisation pour un événement. En 2022, il sera également possible d’effectuer les demandes de prime Bruxell’Air, de prime à l’énergie et à la rénovation ou encore d’occupation temporaire de la voie publique. “ Irisbox cadre parfaitement avec mon objectif de faire évoluer la région bruxelloise vers une région connectée. Le numérique permet de rendre l’administration plus moderne, plus simple, plus efficace, plus accessible. Fini les longues files au guichet, fini les déplacements inutiles.” […]

Les 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale

Fusionner les communes ? "Un fantasme flamand"

Extraits de l'article paru dans la Dernière Heure

[…] Le débat est tout sauf neuf, et refait sporadiquement surface à Bruxelles, attisant les interminables conversations entre municipalistes et régionalistes, néerlandophones et francophones de toutes tendances politiques.
Du côté du ministre bruxellois des Pouvoirs locaux Bernard Clerfayt (Défi), l’idée avancée par Vooruit rencontre un niet catégorique. “ La fusion des communes est un fantasme flamand, fondé sur la répartition des pouvoirs ”, indique le ministre amarante. “ La Région est aujourd’hui anti-démocratique. Les néerlandophones y sont sur-représentés : ils s’arrogent 20 % des moyens dédiés aux politiques communautaires, 30 % des emplois dans l‘administration régionale, etc.” […]