Titres-services : les conditions de travail des aide-ménagères améliorées

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contrôle et amélioration des conditions de travail des aide-ménagères

Deux objectifs prioritaires ont guidé le travail de réforme des titres-services que le ministre Bernard Clerfayt a menée avec les partenaires sociaux : améliorer les conditions de travail des aide-ménagères et renforcer leur protection. Ce projet de réforme a été approuvé par le gouvernement.

1. Améliorer les conditions de travail dans le secteur des titres-services

La formation

Chaque travailleur bénéficiera de 16h de formation obligatoire. Chaque nouveau travailleur devra suivre un parcours de 9h de formation obligatoire dont 2h minimum en ergonomie.

Les fins de carrière

Pour alléger les fins de carrière, les aide-ménagères de plus de 50 ans pourront devenir tuteur et mettre leurs compétences et leur expertise au bénéfice de l’accompagnement d’un collègue moins expérimenté. Le tuteur pourra assurer des formations sur le terrain, des entretiens individuels ou encore des visites sur le lieu de prestation pour vérifier la conformité des équipements mis à disposition par les clients.

Les frais supplémentaires, essentiellement pour le bien-être des aides ménagères

Quelques entreprises bruxelloises réclament des frais supplémentaires à leur client. Ceux-ci seront mieux encadrés et limités à 0,30 centimes/titre. Ils devront bénéficier majoritairement aux frais encourus par les aide-ménagères pour la mobilité, la formation et le bien-être.

Le suivi d’application des mesures

L’encadrement continu des entreprises devra respecter la tenue de 2 entretiens individuels annuels et d’un entretien collectif. Dans ce cadre, les dispositifs de soutien à la formation, les échanges de bonnes pratiques, les comportements problématiques des clients, ou encore les instances à contacter en cas de discrimination ou de harcèlement seront abordés.

2. Renforcer la protection des aide-ménagères 

Réduction des risques

Chaque entreprise devra attester du respect des dispositions fédérales concernant la visite médicale annuelle obligatoire et l’analyse de risque permettant d’éliminer ou de réduire le niveau de risques pour la santé et la sécurité au travail.

Vérification des conditions de travail et contrôle renforcé

Les nouveaux utilisateurs devront accepter une visite préalable obligatoire avant toute prestation titre-service. Cette visite permettra de fixer le nombre d’heures de travail nécessaires pour répondre aux demandes du client ainsi que de s’assurer de la salubrité des lieux et de la mise à disposition de matériel de nettoyage adéquat.

Le contrôle du secteur sera renforcé afin que l’Inspection Régionale de l’Emploi puisse s’assurer du respect de ces nouvelles conditions par les entreprises agréées au bénéfice des aide-ménagères. 

Comportements abusifs exclus

Les utilisateurs au comportement abusif pourront être exclus et se voir interdire l’utilisation de titres-services.

Titres-services : les conditions de travail des aide-ménagères améliorées

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, le gouvernement a approuvé une série de mesures permettant d’améliorer les conditions de travail des aide-ménagères. Allégement des fins de carrières, visite préalable obligatoire ou encore exclusion des utilisateurs aux comportements abusifs. 

27.702, c’est le nombre d’aide-ménagères qui travaillent dans le secteur des titres-services bruxellois. Parmi eux, se trouvent 21.393 Bruxellois dont 95% de femmes. Chaque jour, ils effectuent des tâches ménagères auprès de 116.162 utilisateurs bruxellois. Des tâches pénibles et difficiles qui provoquent des maladies musculosquelettiques touchant les articulations, les muscles et les tendons, et pour lesquelles, ils n’ont pas nécessairement été formés. 

« Les aide-ménagères effectuent des tâches quotidiennes qui peuvent avoir, à long terme, des incidences importantes sur leur santé. Aujourd’hui, je me réjouis des belles avancées en Région bruxelloise pour soulager leur quotidien ! Il convenait d’assurer une meilleure protection de ces femmes, de leur permettre de développer leurs compétences et surtout de travailler avec elles pour limiter les risques sur leur santé et alléger leur charge de travail à partir de 50 ans ! », déclare Bernard Clerfayt.

C’est pourquoi, dans le cadre de la réforme du titre-service, deux objectifs prioritaires ont guidé le travail de réforme mené avec les partenaires sociaux : améliorer les conditions de travail des aide-ménagères et renforcer la protection des aide-ménagères.

Améliorer les conditions de travail 

Chaque travailleur bénéficiera de 16h de formation obligatoire.  Chaque nouveau travailleur devra suivre un parcours de 9h de formation obligatoire dont 2h minimum en ergonomie.

Pour alléger les fins de carrière, les aide-ménagères de plus de 50 pourront devenir tuteur et mettre leurs compétences et leur expertise au bénéfice de l’accompagnement d’un collègue moins expérimenté. Le tuteur pourra assurer des formations sur le terrain, des entretiens individuels ou encore des visites sur le lieu de prestation pour vérifier la conformité des équipements mis à disposition par les clients. 

Quelques entreprises bruxelloises réclament des frais supplémentaires à leur client. Ceux-ci seront mieux encadrés et limités à 0,30 centimes/titre. Ils devront bénéficier majoritairement aux frais encourus par les aide-ménagères pour la mobilité, la formation et le bien-être.

L’encadrement continu des entreprises devra respecter la tenue de 2 entretiens individuels annuels et d’un entretien collectif. Dans ce cadre, les dispositifs de soutien à la formation, les échanges de bonnes pratiques, les comportements problématiques des clients, ou encore les instances à contacter en cas de discrimination ou de harcèlement seront abordés.

Renforcer la protection des aide-ménagères 

Chaque entreprise devra attester du respect des dispositions fédérales concernant la visite médicale annuelle obligatoire et l’analyse de risque permettant d’éliminer ou de réduire le niveau de risques pour la santé et la sécurité au travail. 

Les nouveaux utilisateurs devront accepter une visite préalable obligatoire avant toute prestation titre-service. Cette visite permettra de   fixer le nombre d’heures de travail nécessaires pour répondre aux demandes du client ainsi que de s’assurer de la salubrité des lieux et de la mise à disposition de matériel de nettoyage adéquat. 

Enfin, les utilisateurs au comportement abusif pourront être exclus et se voir interdire l’utilisation de titre-service.

Le contrôle du secteur sera renforcé afin que l’Inspection Régionale de l’Emploi puisse s’assurer du respect de ces nouvelles conditions par les entreprises agréées au bénéfice des aide-ménagères. 

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Métiers en pénurie et mise à l'emploi

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "La Région bruxelloise tient sa feuille de route pour lutter contre les métiers en pénurie"

Extraits de l'article publié par La Capitale

On dénombre 108 métiers qui recrutent en Région bruxelloise et près de 25.000 emplois vacants. Un phénomène qui n’est ni nouveau, ni spécifique à Bruxelles.

[…] Grâce à un budget de 3 millions d’euros, 2.000 chercheurs d’emploi seront « screenés » en vue d’une entrée en formation ou d’une mise à l’emploi. […]

[…] « Le bilan de compétences qui sera mis en œuvre dès septembre prochain devra permettre de mieux détecter les besoins en formation des chercheurs d’emploi et donc de mieux les orienter, y compris vers les métiers en pénurie. », conclut Bernard Clerfayt.

5 secteurs mobilisés dans la lutte contre les métiers en pénurie

Extrait de presse
Un plan d'action pour cinq secteurs en pénurie à Bruxelles

Extraits de l'article publié par l'Echo :

Une feuille de route commune a été établie par la Région bruxelloise avec les secteurs de la construction, l'horeca, la logistique, le numérique et les industries technologiques.

[…] Le ministre bruxellois de l'Emploi balaie les slogans "simplistes" selon lesquels il faudrait forcer les chômeurs à occuper ces emplois. "Si l'on n'a pas le diplôme d'infirmier, on ne peut pas devenir infirmier, point. Et puis, tous les chômeurs ne sont pas des fainéants, ils font aussi un calcul rationnel. Le revenu minimum garanti des emplois faiblement qualifiés dépassent de trop peu le revenu d'insertion. Il faut que le net en poche soit plus attractif", insiste Bernard Clerfayt (DéFI). Cette dernière mesure relève toutefois du Fédéral qui peine à faire accoucher sa réforme fiscale...

[…] À l'échelon bruxellois, le ministre amarante qui ne croit donc pas à une mesure miracle avait entamé au printemps 2022 une série de tables rondes avec cinq secteurs en pénurie afin de "sortir des postures".

Métiers en pénurie : Région et partenaires sociaux s’engagent

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Le secteur de la logistique est l'un des 5 secteurs prioritaires dans la lutte contre les métiers en pénurie.

Cinq secteurs sont particulièrement confrontés au phénomène des métiers en pénurie : l’Horeca, le numérique, le transport et la logistique, la construction et les métiers de l’industrie technologique. Ceux-ci se sont réunis avec les services publics de l’emploi et de la formation ainsi que les interlocuteurs sociaux. Ensemble, ils ont identifié 34 actions à mettre en œuvre pour lutter contre les vacances d’emploi dans leurs secteurs. Ces actions pour lutter contre les métiers en pénurie s’organisent en 4 axes :

  • Orienter : améliorer l’image des métiers
  • Inciter : encourager financièrement à se former et à former
  • Former : augmenter la capacité d’accueil en formation
  • Rapprocher : développer des dispositifs pour rapprocher le chercheur d’emploi du monde de l’entreprise

3 millions pour lutter contre les métiers en pénurie

Grâce à un budget de 3 millions d’euros, 2.000 chercheurs d’emploi seront « screenés » en vue d’une entrée en formation ou d’une mise à l’emploi. 450 chercheurs d’emploi seront formés à l’un des métiers en pénurie avec un objectif de mise à l’emploi de 80% minium. 300 élèves seront formés sur des structures de pointe. Et 1.000 jeunes réaliseront une activité de découverte-métier.

108 métiers concernés en Région de Bruxelles-Capitale

On dénombre 108 métiers qui recrutent en Région bruxelloise et près de 25.000 emplois vacants.  Un phénomène qui n’est ni nouveau, ni spécifique à Bruxelles.

Pour certaines fonctions, la pénurie peut s’expliquer en raison des conditions salariales ou de travail (46 métiers sur 108).

Rapprocher chercheurs d’emploi et entreprises

« Le bilan de compétences qui sera mis en œuvre dès septembre prochain devra permettre de mieux détecter les besoins en formation des chercheurs d’emploi et donc de mieux les orienter, y compris vers les métiers en pénurie. A Bruxelles, nous n’avons pas toutes les clés en main mais je suis persuadé qu’en travaillant main dans la main avec les secteurs, nous parviendrons à mettre plus de Bruxellois à l’emploi. Car former sur mesure aux besoins de l’entreprise, c’est l’emploi assuré », conclut Bernard Clerfayt.

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La Région bruxelloise tient sa feuille de route pour lutter contre les métiers en pénurie

Communiqué de presse

Maçon, barman, chauffeur poids lourds, ascensoriste, cuisinier, gestionnaire de réseau… Chaque année, la liste des métiers qui recrutent reste la même. Or si une série de postes ne peuvent être pourvus, cela impacte négativement notre économie. C’est pourquoi, la Région bruxelloise a réuni l’ensemble des acteurs publics et privés pour écrire sa feuille de route pour lutter contre les métiers en pénurie 

Si la Région bruxelloise connaît un relèvement du niveau d’éducation de sa population, 27% des Bruxellois disposaient d’un diplôme de l’enseignement supérieur en 2000 contre 41% en 2020, force est de constater que les choix d’orientation ne répondent pas nécessairement aux besoins actuels du marché de l’emploi. Par exemple, 2% seulement sont diplômés de la filière informatique.

On dénombre 108 métiers qui recrutent en Région bruxelloise et près de 25.000 emplois vacants.  Un phénomène qui n’est ni nouveau, ni spécifique à Bruxelles.

Pour certaines fonctions, la pénurie peut s’expliquer en raison des conditions salariales ou de travail (46 métiers sur 108).

« Certaines fonctions sont en pénurie depuis toujours. Il y a évidemment plusieurs raisons à cela et les conditions de travail et salariales n’y sont pas étrangères. C’est ce que l’on appelle les pièges à l’emploi. Une revalorisation de ces métiers est indispensable si on souhaite orienter plus de Bruxellois vers ces filières. Sans amélioration du statut social et pécuniaire, les efforts de la Région pour diriger les chercheurs d’emploi vers ces métiers ne porteront jamais leurs fruits », commente Bernard Clerfayt.

Mais pour bon nombre de fonctions, la pénurie résulte d’un manque de candidats qualifiés. Certains secteurs sont particulièrement confrontés à ce phénomène : l’horeca, le numérique, le transport et la logistique, la construction et les métiers de l’industrie technologique.

3 millions pour lutter contre les métiers en pénurie

Pour lutter contre les pénuries dans ces 5 secteurs prioritaires, ceux-ci se sont réunis avec les services publics de l’emploi et de la formation ainsi que les interlocuteurs sociaux.

Ensemble, ils ont identifié 34 actions à mettre en œuvre pour lutter contre les vacances d’emploi dans leur secteur. Celles-ci s’organisent en 4 axes :

  • Orienter : améliorer l’image des métiers
  • Inciter : encourager financièrement à se former et à former
  • Former : augmenter la capacité d’accueil en formation
  • Rapprocher : développer des dispositifs pour rapprocher le chercheur d’emploi du monde de l’entreprise

Grâce à un budget de 3 millions d’euros, 2.000 chercheurs d’emploi seront « screenés » en vue d’une entrée en formation ou d’une mise à l’emploi. 450 chercheurs d’emploi seront formés à l’un des métiers en pénurie avec un objectif de mise à l’emploi de 80% minium. 300 élèves seront formés sur des structures de pointe. Et 1.000 jeunes réaliseront une activité de découverte-métier.

« La construction cherche actuellement 14.000 personnes. Nous avons tous les instruments pour les former et les engager. Construcity est un partenariat public-privé dynamique pour activer les chercheurs d’emploi et notamment les femmes et les primo-arrivants, deux groupes à haut potentiel pour le secteur de la construction », déclare Jean-Christophe Vanderhaegen, Directeur général Embuild Brussels-Vlaams Brabant.

« Ce financement permettra ponctuellement d’augmenter les possibilités d’actions de formation, d’emploi et d’information en lien avec les métiers en forte demande de main d’œuvre qualifiées dans notre domaine », embraye Jean-Claude Delen, Président du Fonds Social du Transport et de la Logistique.

« Il est indéniable que notre secteur, l’Horeca, est un secteur qui engage. Nos entrepreneurs sont motivés. Il faut maintenant valoriser nos métiers. Grâce à l’engagement commun du secteur et de la Région, je suis persuadée que nous parviendrons à attirer plus de talents bruxellois dans notre secteur d’activité », ambitionne Ludivine de Magnanville, Présidente de la fédération Horeca.

« Le bilan de compétences qui sera mis en œuvre dès septembre prochain devra permettre de mieux détecter les besoins en formation des chercheurs d’emploi et donc de mieux les orienter, y compris vers les métiers en pénurie. A Bruxelles, nous n’avons pas toutes les clés en main mais je suis persuadé qu’en travaillant main dans la main avec les secteurs, nous parviendrons à mettre plus de Bruxellois à l’emploi. Car former sur mesure aux besoins de l’entreprise, c’est l’emploi assuré », conclut Bernard Clerfayt. 

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La stratégie qualification emploi fixe un nouveau cap pour Bruxelles

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Groupe en stage de formation professionnelle

Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle Bernard Clerfayt a élaboré la Stratégie Qualification Emploi, en concertation avec les partenaires sociaux. Celle-ci doit permettre aux Bruxellois de rejoindre le niveau de compétences requis sur le marché de l’emploi à l’horizon 2030. Elle a été adoptée en première lecture par le gouvernement.

« Nous sommes le premier bassin économique du pays. Mais nous avons une réserve de main d’œuvre qui ne présente pas les bonnes qualifications pour accéder au marché du travail. C’est là-dessus qu’il faut travailler et faire monter en gamme les compétences des chercheurs d’emploi bruxellois ». L’enjeu pour Bruxelles est donc de relever ce défi de compétences, c’est l’objectif de la Stratégie Qualification Emploi.

La Stratégie Qualification Emploi : 3 axes, 25 mesures et plus de 100 actions

1. Améliorer l’adéquation des formations aux besoins économiques

En connaissant les besoins des employeurs, en les identifiant et en les anticipant, les services publics peuvent adapter leur offre de formation, la faire évoluer pour qu’elle colle au mieux aux attentes des entreprises. C’est l’objectif de cet axe : faire des employeurs, de véritables partenaires et développer des programmes formation sur mesure, rapprocher le monde de l’école du monde des entreprises grâce à des ateliers de découverte métier ou encore déployer la formation en milieu de travail.

2. Accompagner les personnes en formation vers l’emploi

Revaloriser les indemnités de formation, faciliter l’accès à des crèches, développer de nouvelles façons d’apprendre ou encore faciliter la reprise d’études sont autant d’actions qui permettront de lutter contre le décrochage et de mener à bien le parcours de formation.

3. Renforcer les compétences transversales

Alors que les employeurs sont prêts à former les Bruxellois sur les compétences métiers, ils sont moins enclins à les former aux compétences transversales, encore moins pour les petites et moyennes entreprises qui constituent le tissu économique majoritaire à Bruxelles. C’est notamment dans cet axe que l’on retrouve l’apprentissage des langues via l’immersion linguistique ou du numérique mais aussi le développement de formations aux soft skills, la curiosité, l’autonomie, la flexibilité, etc.

Taux d’emploi et exigence du marché de l’emploi bruxellois

En Région bruxelloise, le taux d’emploi atteignait 66% au premier trimestre 2023. C’est d’ailleurs la seule région du pays où ce chiffre augmente puisqu’il diminue en Wallonie et stagne en Flandre. Néanmoins, pour contribuer à l’atteinte de l’objectif de 80% au niveau national, le chemin est encore long. Car, cela veut dire que d’ici 2030, 116.000 Bruxellois de plus doivent trouver un emploi.

Or, le marché de l’emploi bruxellois est un marché très exigeant en termes de niveau de qualification et qui ne cesse de réclamer des compétences de plus en plus pointues. En effet, dans le même temps, les offres d’emploi nécessitant un baccalauréat ou un master ont augmenté de 19,5% et celles ne nécessitant pas de diplôme, ont diminué de 48%. C’est une réalité : le manque de compétences constitue un frein à la mise à l’emploi.

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