L'hôtelerie, l'un des secteurs qui recrutent

Extrait de presse
Extrait de presse, Télémoustique : "Hôtels bruxellois recherchent réceptionnistes désespérément"

Extraits de l'article publié par Télémoustique

 “On compte en Région bruxelloise, 25.739 postes vacants dont de nombreux métiers qui recrutent“, souligne Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l'Emploi, cité dans le communiqué d'Actiris.

[…] Selon l'organisme, on compte environ 108 métiers en pénurie dans la capitale. Les principaux secteurs concernés ? La construction mais l'HoReCa aussi, avec les réceptionnistes d'hôtel qui manquent cruellement à l'appel…

[…] “On compte en Région bruxelloise, 25.739 postes vacants dont de nombreux métiers qui recrutent. Pour permettre aux employeurs d'engager, il faut mieux former et accompagner les chercheurs d'emploi, souligne-t-il « C'est pourquoi, dès le mois de septembre, tous les chercheurs d'emploi bénéficieront d'un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques. Et sur base de celui-ci, un plan d'actions et de formation sera établi. Il permettra de mieux les orienter sur le marché de l'emploi, et notamment vers tous ces métiers à la recherche criante de bras“ , déclare le ministre dans les lignes de BX1.

Congé-éducation payé : les travailleurs à temps partiel pourront enfin se former !

Communiqué de presse

Sur proposition du Ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt, le gouvernement a approuvé la réforme du congé-éducation payé : des formations à distance et sur le lieu de travail, adaptées aux personnes souffrant d’un handicap et accessibles aux travailleurs à temps partiel. Le dispositif se modernise pour garantir à tous les travailleurs le droit à se former. 

En Belgique, seuls 44% des travailleurs continuent à se former. Pire, pour les personnes faiblement éduquées, ce taux baisse à 24%.  A titre de comparaison, ce taux est de 64% en Allemagne. Pourtant, se former tout au long de sa carrière est indispensable pour répondre auxmutations à l’œuvre sur le marché de l’emploi et se maintenir à l’emploi.

« La formation continue est indispensable ! D’abord pour son développement personnel, mais aussi pour évoluer dans sa carrière ou se reconvertir. Si, et c’est prouvé, se former permet d’améliorer ses chances de décrocher un emploi, se former permet aussi de rester à l’emploi, a fortiori sur un marché de l’emploi ultra-compétitif et exigeant », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Prendre congé pour se former ? C’est possible grâce au congé-éducation payé. Cours de langues, de promotion sociale, formation orientée métier, reprises des études…Ce système permet aux travailleurs du secteur privé de suivre des formations. L’atout de la mesure ? Le travailleur continue d’être rémunéré.

Chaque année, près de 6.500 travailleurs bénéficient de cette mesure. Seulement, elle souffre de plusieurs écueils. On constate que les femmes y sont sous-représentées (41%). Les formations ne sont pas toujours adaptées pour les personnes handicapées. Enfin, les travailleurs à temps partiel sont exclus du dispositif. Or, le temps partiel est majoritairement féminin avec 40,7% des femmes salariées tandis que les hommes ont recours au temps partiel à 11,9%.

Face à ce constat, le Ministre amarante a décidé de réformer le système du congé-éducation payé. Parmi les nouvelles mesures : la possibilité de suivre les formations à distance ou sur son lieu de travail, l’accès aux formations élargi aux travailleurs à temps partiel ou encore une augmentation du nombre d’heures de formations remboursées.

« Qu’on soit à l’emploi ou en recherche d’emploi, il est toujours bon de se former. En ouvrant l’accès au congé éducation payé aux travailleurs à temps partiel, je veux augmenter le taux de formation continue, principalement celui des femmes », ajoute Bernard Clerfayt.

Enfin, un plafond de 700.000 euros par entreprise est mis en place pour éviter certains effets d’aubaine. En effet, précédemment, il n’y avait pas de montant maximal. Résultat, deux entreprises, Audi et Securitas, consomment à elles seules plus de 30% des 14,5 millions consacrés au congé-éducation payé.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Les métiers qui recrutent

Extrait de presse
Extrait de presse, La Libre : "Quels sont ces 100 métiers qui recrutent à Bruxelles ?".

Extraits de l'article publié par La Libre

[…] Ces métiers sont qualifiés de fonctions critiques par rapport à la difficulté pour les employeurs à recruter un candidat. La liste reprend ainsi les fonctions réparties dans différents secteurs: administration et secrétariat, commerce, comptabilité et finances, construction, enseignement et formation, horeca, informatique, industrie, santé, services à la personne et transports.

[…] On compte en Région bruxelloise, 25.739 postes vacants dont de nombreux métiers qui recrutent", souligne Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l'Emploi, cité dans le communiqué d'Actiris. "Pour permettre aux employeurs d'engager, il faut mieux former et accompagner les chercheurs d'emploi. C'est pourquoi, dès le mois de septembre, tous les chercheurs d'emploi bénéficieront d'un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques. Et sur (la) base de celui-ci, un plan d'actions et de formation sera établi. Il permettra de mieux les orienter sur le marché de l'emploi, et notamment vers tous ces métiers à la recherche criante de bras."

Actiris publie la liste des 108 métiers qui recrutent

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Actiris, l'agence régionale pour l'emploi, accompagne les chercheurs d'emploi bruxellois vers les métiers qui recrutent.

Certaines professions font leur apparition dans la liste des métiers qui recrutent : analyste financier, réceptionniste hôtelier ou encore aide familiale. A contrario, d'autres métiers disparaissent comme les conseillers en crédits, les géomètres, gérants de magasins de détail ou encore les agents immobiliers. Parmi les professions plus récurrentes : le corps enseignant, le personnel soignant, les métiers du numérique ou encore de la construction.

Bilan de compétences professionnelles

« On compte en Région bruxelloise, 25.739 postes vacants dont de nombreux métiers qui recrutent. Pour permettre aux employeurs d’engager, il faut mieux former et accompagner les chercheurs d’emploi. C’est pourquoi, dès le mois de septembre, tous les chercheurs d’emploi bénéficieront d’un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques. Et sur base de celui-ci, un plan d’actions et de formation sera établi. Il permettra de mieux les orienter sur le marché de l’emploi, et notamment vers tous ces métiers à la recherche criante de bras », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l'Emploi.

Se former aux métiers qui recrutent

Actiris publie la liste de certaines études et formations liées à ces métiers. Poursuivre celles-ci augmente les chances de trouver un emploi.

Dans certains cas, Actiris a la possibilité d'octroyer une dispense de disponibilité aux chercheurs d'emploi qui suivent une formation, un stage ou des études tout en continuant à percevoir les allocations de chômage. La dispense permet aux chercheurs d'emploi d’augmenter leurs chances d’intégration sur le marché de l’emploi, de préférence vers un métier qui recrute.

(Source : communiqué de presse d’Actiris de ce 28 juin 2023)

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23.000 places de formation en 2023

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La formation, clé pour l'emploi.

En 2023, Bruxelles Formation aura proposé 23.000 places de formation. 17.000 sont consacrées aux formations professionnalisantes dont 4.300 aux métiers qui recrutent.

« Aujourd’hui, les Bruxellois ont l’embarras du choix pour acquérir les compétences nécessaires à leur insertion sur le marché de l’emploi. Le bilan de compétences et le parcours vers l’emploi, qui seront imposés dès le mois de septembre, viendront renforcer les possibilités pour améliorer le niveau de qualification. C’est en investissant dans la formation que nous augmenterons la mise à l’emploi des Bruxellois », insiste Bernard Clerfayt.

La formation, clé pour l'emploi

Les nouvelles sont au beau fixe concernant le taux d’emploi à Bruxelles. Pour autant, il faut maintenir les efforts et continuer à améliorer les compétences des Bruxellois. Et la mise à l’emploi des Bruxellois passe par la formation.

La formation augmente les chances de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage pour l’emploi, contre 54% en l’absence de formation. 

Parce que le marché de l’emploi bruxellois est exigeant

La formation est d’ailleurs au cœur des politiques d’emploi du Ministre bruxellois, Bernard Clerfayt. « En Région bruxelloise, nous n’avons pas un défi d’emploi mais un défi des compétences. Nous sommes une région qui compte 835.000 postes de travail, dont 60% requièrent un niveau de qualification élevé.  Pour permettre aux Bruxellois de décrocher un emploi, ils doivent se former. Il faut former plus et mieux ! »,commente le Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

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Les nouvelles sont au beau fixe concernant le taux d’emploi à Bruxelles. Pour autant, il faut maintenir les efforts et continuer à améliorer les compétences des Bruxellois. Et la mise à l’emploi des Bruxellois passe par la formation. Pour y arriver, Bruxelles Formation proposera près de 23.000 places de formation en 2023.

Ce n’est pas un secret, le marché de l’emploi bruxellois est un marché exigeant où le niveau de qualification recherché est élevé. La solution ? Former les chercheurs d’emploi. Les chiffres de l’étude menée par Bruxelles Formation parlent d’eux-mêmes : la formation augmente les chances de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage pour l’emploi, contre 54% en l’absence de formation. 

La formation est d’ailleurs au cœur des politiques d’emploi du Ministre bruxellois, Bernard Clerfayt. « En Région bruxelloise, nous n’avons pas un défi d’emploi mais un défi des compétences. Nous sommes une région qui compte 835.000 postes de travail, dont 60% requièrent un niveau de qualification élevé.  Pour permettre aux Bruxellois de décrocher un emploi, ils doivent se former. Il faut former plus et mieux ! »,commente le Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation. 

C’est pourquoi, en 2023, Bruxelles Formation proposera 23.000 places de formation. 17.000 seront consacrées aux formations professionnalisantes dont 4.300 aux métiers qui recrutent.

« Aujourd’hui, les Bruxellois ont l’embarras du choix pour acquérir les compétences nécessaires à leur insertion sur le marché de l’emploi. Le bilan de compétences et le parcours vers l’emploi, qui seront imposés dès le mois de septembre, viendront renforcer les possibilités pour améliorer le niveau de qualification. C’est en investissant dans la formation que nous augmenterons la mise à l’emploi des Bruxellois », insiste Bernard Clerfayt.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Bien-être au travail des aide-ménagères

Extrait de presse
Extrait de presse, RTL info : "Clerfayt promet des mesures pour améliorer les conditions de travail des aide-ménagères".

Extraits de l'article publié par RTL info:

Un groupe de travail destiné à améliorer les conditions de travail des aide-ménagères a été promis lundi par le ministre bruxellois du Travail, Bernard Clerfayt, à la CSC et la FGTB Titres-Services. Il regroupera tous les niveaux de pouvoir concernés. La nouvelle a été accueillie avec satisfaction par la centaine d'aide-ménagères qui manifestaient devant les bureaux du ministre.

Ce dernier a appris aux syndicats qu'elle faisait suite à une "conférence ministérielle" organisée juste avant leur rencontre, a relayé le secrétaire fédéral FGTB Titres-services, Sébastien Dupanloup.

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