20 millions pour le secteur des titres-services en Région de Bruxelles-Capitale

Actualité
Un budget de 20 millions d'euros pour le secteur des titres-services

Face à la crise économique engendrée par la pandémie du Coronavirus, le Gouvernement bruxellois a décidé de prendre des mesures économiques et sociales pour soutenir les secteurs les plus touchés et ce, pour un budget de plus de 150 millions d’euros.

Parmi ces secteurs, celui des titres-services.

Dans le flou depuis plusieurs jours, le secteur des titres-services se voit ainsi consacré un budget de 20 millions d’euros. La Région continuera à verser 14,60 € par heure, qu’elle soit prestée ou non, aux entreprises titres-services. Ce versement permettra de payer le salaire des aide-ménagères, pour autant que les entreprises ne pratiquent pas le chômage économique. Cependant, cette mesure n’est réalisable que si le fédéral accepte de supprimer les cotisations sociales pour ce secteur.

A défaut, la Région s’engage à couvrir la part du revenu des aide-ménagères non couvert par le versement du chômage temporaire

Économie sociale  

Et en ce qui concerne les entreprises d’économie sociale d’insertion, normalement exclues des aides économiques, elles pourront bénéficier de tous les dispositifs mis en place pour soutenir le tissu économique bruxellois face à la crise du Covid-19.

+ d’infos.

La Région bruxelloise lance un appel à projets pour lutter contre la discrimination à l’embauche

Communiqué de presse

Sexe, origine, âge, voici les trois premiers facteurs de discrimination à l’embauche en Région bruxelloise. A ceux-ci, on peut ajouter le handicap, l’adresse de domiciliation ou encore l’orientation sexuelle. Pour offrir à tous les Bruxellois, à compétences égales, les mêmes chances d’accéder à l’emploi, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, lance un appel à projets d’un montant de 750.000 euros.

En Région bruxelloise, tout le monde n’a pas les mêmes chances d’accéder à l’emploi. Une récente étude d’Actiris indique 69% des personnes qui signalent une discrimination à l’embauche sont des femmes. Le monitoring socioéconomique réalisé par view.brussels démontre qu’à compétence égale, le taux d’emploi varie fortement en fonction de l’origine de la personne. Pourtant, la discrimination à l’embauche n’est pas une fatalité.

Pour lutter contre celle-ci et promouvoir la diversité sur le marché de l’emploi, la Région lance un appel à projets d’un montant de 750.000 euros. Pour cette édition, une thématique spécifique  a été choisie et il s’agit de l’intersectionnalité. Ce terme désigne des situations à discriminations multiples, par exemple être une femme, mère de famille et d’origine étrangère.

« La diversité en entreprise, ce n’est pas encore la norme. Le monde économique succombe trop souvent, de manière consciente ou inconsciente, à la tentation du rejet de la différence. La diversité nécessite donc du travail, parfois beaucoup de travail. Mais ce travail est essentiel pour encourager les talents et donner les mêmes chances à chacun. Ce nouvel appel à projets a pour objectif de promouvoir la diversité afin d’en faire une richesse pour l’entreprise. Pour faire en sorte que tous les Bruxellois et toutes les Bruxelloises puissent accéder, sans discrimination, au marché de l’emploi », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Les porteurs de projets ont jusqu’au 30 mars pour déposer leur dossier. Toutes les infos sont disponibles sur le site de Bruxelles Economie Emploi http://werk-economie-emploi.brussels/fr/appel-a-projets-diversite-2020

 

Plus d’infos ?

Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

1.000.000 d’euros pour développer l’économie sociale en Région bruxelloise

Communiqué de presse

Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et Barbara Trachte, Secrétaire d’Etat bruxelloise à la Transition économique, lancent un nouvel appel à projets destiné à soutenir des actions innovantes développées par des entreprises sociales et démocratiques. L’objectif ? Contribuer à la transition de l’économie bruxelloise pour faire évoluer les entreprises vers plus de valeur ajoutée sociale et environnementale mais aussi développer des emplois durables et de qualité valorisant les compétences des Bruxellois.

L’économie sociale, c’est ce pan entier de l’économie qui place l’humain au centre de ses activités, qui refuse le profit comme une fin en soi et qui fait entrer la démocratie dans l’entreprise. Et en Belgique, l’économie sociale se porte bien.

Les derniers chiffres disponibles estiment que le secteur compte 11.223 entreprises employeuses qui fournissent 252.588 emplois, soit 12% de l’emploi total en Wallonie et en Région bruxelloise.

Toutefois, afin d’accentuer la transition économique et d’augmenter le taux d’emploi des Bruxellois, certains projets doivent être aidés. C’est pourquoi, Bernard Clerfayt et Barbara Trachte ont débloqué un budget d’un million d’euros pour soutenir les structures et entreprises de l’économie sociale. Les lauréats pourront bénéficier d’un soutien financier pouvant atteindre 80.000€.

« Le secteur de l’économie sociale offre de nombreux emplois durables et de qualité. Il offre aussi à ses travailleurs  un emploi qui a du sens où ils peuvent développer leurs compétences. Les jeunes générations sont de plus en plus à la recherche d’un emploi qui incarne leurs valeurs. En soutenant ce secteur d’activité, nous créons de la valeur ajoutée ancrée localement. En créant de la valeur ajoutée locale, nous créerons des emplois locaux et non délocalisables », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Pour Barbara Trachte, Secrétaire d’Etat bruxelloise à la Transition économique : « L’entrepreneuriat social est l’un des moteurs de la transition dans laquelle s’inscrit le gouvernement bruxellois. En lançant cet appel à projet, nous souhaitons dynamiser un secteur qui introduit du sens, des valeurs humaines et de la démocratie dans la gestion de ses entreprises et de ses structures. Le modèle coopératif en est un parfait exemple. Soutenir ce type de modèle, c’est aussi soutenir une autre façon d’entreprendre, plus respectueuse du bien-être des travailleurs et des travailleuses ».

Deux séances d’information sont prévues le 21 février et le 10 mars. Les porteurs de projets ont jusqu’au 30 mars pour entrer leur dossier.

Toutes les infos sur http://werk-economie-emploi.brussels/fr/appel-a-projets-economie-sociale-2020

Contacts

Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Nicolas Roelens – 0485 89 83 95

Pandémie Coronavirus (Covid-19) : Le Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale prend des mesures économiques et sociales sans précédent

Communiqué de presse

La grave crise que nous traversons aujourd’hui suite à la pandémie de Coronavirus et les mesures indispensables prises à l’issue du Conseil National de Sécurité ont des conséquences importantes sur la vie des citoyens mais également sur les entreprises et leurs travailleurs.

Le Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale a décidé aujourd’hui de prendre des mesures économiques et sociales sans précédent pour soutenir les secteurs les plus touchés et ce, pour un budget de plus de 150 millions d’euros :

  • Une prime unique de 4.000€ par entreprise dont la fermeture est rendue obligatoire suite aux décisions adoptées par le Conseil National de Sécurité et faisant partie des secteurs suivants :
    • La restauration (code NACE 56) ;
    • L’hébergement (code NACE 55) ;
    • Les activités des agences de voyage, voyagistes, services de réservation et activités connexes (code NACE 79) ;
    • Le commerce de détail à l’exception des magasins d’alimentation (y compris les magasins de nuit), les magasins d’alimentation pour animaux, les pharmacies, les points « presse », les stations-services et fournisseurs de carburants ;
    • Les activités récréatives et sportives (code NACE 92 & 93).
       
  • Une prime unique de 2.000 EUR pour les salons de coiffure  (code NACE 96.021) ;
     
  • La suspension de paiement de la City Tax par la Région bruxelloise pour le premier semestre 2020 ;
     
  • Un soutien fort à la trésorerie des entreprises touchées via l’octroi de garanties publiques (via le Fonds bruxellois de garantie) sur des prêts bancaires, pour un total de 20 millions d’euros;
     
  • La création d’une mission déléguée chez Finance&Invest.brussels qui comprend notamment :
    • la possibilité d’un prêt à taux réduit aux fournisseurs clés du secteur HORECA leur permettant d’offrir un délai de paiement aux établissements du secteur HORECA;
    • la possibilité d’un prêt à taux réduit pour les établissements HORECA qui emploient plus de 50 personnes.
       
  • Un moratoire sur le remboursement en capital des prêts octroyés par Finance&invest.brussels aux entreprises impactées des secteurs touchés ;
     
  • Le traitement, l’engagement et la liquidation accélérés voire anticipés des aides à l’expansion économique pour les secteurs de l’HORECA, du tourisme, de l’événementiel et de la culture ;
     
  • Le renforcement de l’accompagnement des entreprises en difficulté par hub.brussels en collaboration avec le Centre pour entreprises en difficultés (CED) dont la dotation est augmentée de 200.000€.

Pour le secteur des taxis

  • Le renoncement à la taxe sur l'exploitation des taxis ou voitures avec chauffeur pour l’année 2020.

En économie sociale et pour les titres-services

  • Normalement exclues des aides économiques, les entreprises d’économie sociale d’insertion pourront bénéficier de tous les dispositifs mis en place pour soutenir le tissu économique bruxellois face à la crise du Covid-19.
     
  • Dans un cadre fédéral harmonisé, le versement de l’intervention régionale, soit 14,60€ par heure qu’elle soit prestée ou non, aux entreprises titres-services est maintenue. Cela permettra de payer le salaire des aide-ménagères, pour autant que les entreprises ne pratiquent pas le chômage économique, et de soutenir le secteur. 20 millions d’euros sont consacrés à cette mesure. Celle-ci n’est réalisable que si le fédéral accepte de supprimer les cotisations sociales pour ce secteur. 

En commerce extérieur

  • hub.brussels est chargé du suivi régulier de l'impact de Covid-19 sur l'économie bruxelloise et en particulier sur les secteurs à haut risque. Il existe une coopération étroite avec les acteurs privés. Suite à l'annulation de missions à l'étranger (grandes foires, missions dans des zones à risque), hub.brussels contacte individuellement les entreprises pour leur expliquer clairement les détails techniques (informations sur l'annulation, explication de la manière dont le remboursement de leurs frais peut être organisé, etc.) En fonction de l'évolution de la situation, hub.brussels présentera des propositions alternatives pour les missions annulées.

En Image de Bruxelles, en Sport, en Égalité des Chances et en Cohésion sociale

Afin de soutenir les secteurs associatifs et les secteurs événementiel, touristique, culturel et sportif bruxellois :

  • Promotion Image de Bruxelles pour les événements ayant lieu, tout ou en partie, du 1er mars au 30 avril 2020 inclus :
    • Pour les événements reportés plus tard durant l’année 2020, la subvention octroyée subsiste sans modification de l’arrêté de subvention et sans modification du montant octroyé ;
    • Pour les événements annulés, le gouvernement bruxellois autorise l’utilisation de cette subvention pour liquider les factures des dépenses déjà engagées pour l’événement et non annulables.
  • En Sport, en Égalité des Chances et en Cohésion sociale :
    • En cas d’annulation pure et simple et si des frais non remboursables ont été engagés, la subvention ne devra pas être remboursée ;
    • En cas de report à une date ultérieure, il ne sera pas nécessaire d’entamer une nouvelle procédure de demande de subside et l’analyse des pièces justificatives sera assouplie.

Suspension des amendes LEZ

Enfin, le Gouvernement bruxellois a décidé de modifier la date d’entrée en vigueur de l’envoi des amendes prévues dans le cadre de la Zone de basse émission (prévue initialement le 1er avril 2020) et de suspendre temporairement l’envoi des amendes pour les véhicules concernés depuis 2018. L’entrée en vigueur des amendes est donc reporté au 1er jour du mois suivant la fin des mesures prises par l’Autorité fédérale dans le cadre de la pandémie de Covid-19.

Pour rappel, Bruxelles dispose depuis le 1er janvier 2018 d’une zone de basses émissions (LEZ) qui restreint la circulation des véhicules les plus polluants, afin d’améliorer la qualité de l’air et la santé des personnes en Région de Bruxelles-Capitale

Dans le contexte de crise actuelle, il convient de permettre à tous les citoyens impactés par ce virus de pouvoir se rendre dans un hôpital, ou de rendre possible tout autre type de déplacements rendus impérieux par cette pandémie.

Ces mesures viennent compléter les mesures mises en place par l’Union européenne et les autorités fédérales pour lutter contre la crise économique qui touche de plein fouet notre pays.

Pour toute question concernant ces mesures économiques et les aides aux entreprises bruxelloises, le numéro d’appel 1819 ou le site www.1819.brussels sont à la disposition des secteurs.

(Communiqué de presse du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale)

Un accord-cadre avec le secteur ICT a été conclu en région bruxelloise

Communiqué de presse

BRUXELLES, Belgique - 18 février 2020 : Ce mardi, les Ministres du Gouvernement bruxellois, de la Commission communautaire française et les représentants du secteur ICT (Information & Communication Technologies) ont officialisé la conclusion de l’Accord-Cadre ICT au travers d’une signature dans les bâtiments du Conseil économique et social de la Région de Bruxelles-Capitale. Cet accord porte à 8 le nombre d’Accords-Cadres conclus entre le Gouvernement et les secteurs actifs à Bruxelles via le Service de Facilitation sectorielle du Conseil.

La concertation au service de l’activité économique bruxelloise

Le Gouvernement bruxellois a fait de la concertation entre les pouvoirs publics et les différents secteurs professionnels actifs à Bruxelles une de ses marques de fabrique. Cette concertation avec les secteurs économiques bruxellois est concrétisée par la conclusion d’Accords-Cadres. Ces derniers ont pour objectif d’organiser et de pérenniser la concertation entre les pouvoirs publics, les entreprises et les travailleurs d’un secteur donné afin de dégager des conditions et des solutions adéquates pour une meilleure formation des travailleurs et des demandeurs d’emploi ainsi que pour la création d’un emploi de qualité à Bruxelles. En outre, ces accords visent à anticiper les évolutions des besoins de notre Région afin de pouvoir soutenir l’activité des entreprises présentes sur notre territoire.

Sous la législature précédente, le Gouvernement bruxellois avait déjà conclu 7 Accords-Cadres avec des secteurs très diversifiés (Transport & Logistique, Construction, Électrotechnique, Industrie métallique et technologique, Horeca et Intérim).

Le Gouvernement est ravi d’annoncer aujourd’hui la conclusion d’un 8ème Accord, avec le secteur des « Information & Communication Technologies » (ICT).

L’ICT, un secteur-clé à Bruxelles

Il s’agit d’un secteur-clé pour l’avenir des Bruxellois et des Bruxelloises. La révolution technologique touche l’ensemble des métiers de la société. C’est la raison pour laquelle les métiers de l’ICT deviennent transversaux et requièrent de plus en plus de compétences qui sortent du cadre strict de la technique.  Il est donc primordial de pouvoir former les Bruxellois et les Bruxelloises aux métiers de demain.

« Au-delà des perspectives d'emploi non-négligeables offertes par ce domaine d'activité du numérique, je souhaite surtout souligner la nécessité d'anticiper les évolutions de ce secteur afin qu'elles se conjuguent avec celles de notre Région » précise le Ministre-Président Rudi Vervoort.

« Bruxelles est le premier bassin d’emploi du pays. Pour permettre à plus de Bruxellois d’accéder à l’emploi, nous devons sans cesse améliorer leurs qualifications. Afin qu’ils occupent les emplois actuels mais aussi ceux de demain. Et on sait que le numérique va amener de nombreux changements sur le marché de l’emploi. Grâce à cet Accord, pouvoirs publics et secteur vont définir la juste stratégie pour augmenter le taux d’emploi en Région bruxelloise. Ensemble, nous allons développer les formations adaptées aux besoins des entreprises et sans cesse évaluer si celles-ci sont toujours pertinentes. Ce sera notamment le rôle du Pôle Formation Emploi entièrement dédié au numérique, DigitalCity », observe Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

« Je me réjouis que cet accord-cadre pose les jalons de la transition numérique en Région de Bruxelles-Capitale. Notre objectif est que celle-ci se mettre au service de la transition économique pour déployer et donner du sens aux nouvelles technologies. Il s’agit aussi de les inscrire dans un projet de société au service des Bruxellois.es et de la résilience de notre Région. Ensemble, nous devons à présent faire en sorte que cette transition soutienne les entreprises et leur permette de s’inscrire dans l’économie du 21e siècle », explique Barbara Trachte, secrétaire d’Etat à la Transition économique.

Un Pôle Formation Emploi en préparation

En outre, un Pôle Formation Emploi dédié aux métiers du numérique verra bientôt le jour : « DigitalCity ». Ce Pôle permettra de coordonner les différents acteurs publics et privés afin d’améliorer la mise à l’emploi, l’adaptation des formations aux évolutions du marché et la formation professionnelle. Il a pour vocation de s’adresser à tous les publics-cibles : demandeurs d’emploi, travailleurs, élèves, …

 « Je me réjouis de la conclusion de cet accord-cadre ainsi que de la création du Pôle Formation Emploi DigitalCity. L’accord-cadre et le Pôle représentent des instruments indispensables pour améliorer la formation des Bruxellois et pour s’adapter en permanence aux évolutions de la société » conclut Monsieur Jan De Brabanter, Président du Conseil économique et social de la Région de Bruxelles-Capitale.

 

Contact :                                                    Contact presse :

 Daan Capiau                                              Coralie Waeyenbergh

 dcapiau@esr.brussels                                cwaeyenbergh@ces.brussels

 02 430 64 39                                               02 205 68 70

 

 

Un test pour la 5G en Région bruxelloise

Actualité
La 5G, un enjeu stratégique pour la Région bruxelloise

La proposition du Ministre de l'Emploi et de la Transition numérique Bernard Clerfayt est claire : pour objectiver les effets de la 5G, rien de tel que de tester cette technologie dans une zone limitée, et de mesurer les émissions d’ondes.

Le Ministre propose aussi de mesurer globalement les émissions et non de plus celle de chaque installation isolément.

Lors de cette interview, Bernard Clerfayt rappelle le contexte européen « La Commission a décidé que la 5G faisait partie de notre projet de développement économique et social en Europe et invite chaque pays à désigner une ville pilote. Je veux que Bruxelles soit la première ville belge à tester la 5G. On doit donc avancer».

Il est crucial que la Région de Bruxelles-Capitale soit prête. « Si tout le monde reconnaît que la 5G est stratégique pour Bruxelles, il faut se préparer. Mais il ne s’agit pas de prendre des risques pour la santé. »

Évoquant les zones éligibles pour ce type de test, le Ministre de la Transition numérique cite le centre touristique de Bruxelles, un campus universitaire, une zone de développement économique avec une forte densité d’échanges de data.

Le Ministre reconnaît qu’il est impossible, à l’heure d’aujourd’hui, de fixer des délais précis, en raison notamment des obstacles liés à l’absence de gouvernement fédéral de plein exercice. Il veut cependant une stratégie bruxelloise très rapidement : « J’exhorte mes partenaires à mettre Bruxelles en position pour être la ville qui développera la première la 5G ».

L'interview de Bernard Clerfayt à propos de la 5G sur BX1+ :

Bernard Clerfayt au micro de BX1

Pour endiguer la fraude aux titres services :

Extrait de presse
Une carte d'identité électronique contre les fraudes

Extrait de l'article de La Libre

Bernard Clerfayt (Défi) a annoncé qu’une analyse a été demandée à Sodexo pour proposer des mécanismes de vérification des utilisateurs. “Une possibilité est d’obliger l’inscription via une carte d’identité électronique (ou mécanisme équivalent) et de réitérer cette vérification à intervalles réguliers.” Cette piste doit cependant encore être évaluée afin de ne pas être trop invasive. “Nous devons trouver les moyens d’endiguer ces cas de fraude tout en restant accessible à toutes et tous.

Bernard Clerfayt a profité de la commission pour apporter plus de précisions quant à la réforme des titres-services
prévue pour le printemps prochain. Alors que les Bruxellois.es continuent à acheter de plus en plus de titres-services, la réforme devra permettre de maîtriser le budget du gouvernement, tout en maintenant le nombre d’emplois. Trois pistes sont actuellement à l’étude : une augmentation du prix des titres-services, une réduction du nombre de titres-services et une adaptation de la déduction fiscale. La réforme menée sera une modification soit de l’une de ces pistes soit de plusieurs d’entre elles.